CINÉMA-La création de l’Arab Film Institute et des Oscars du monde arabe est en gestation, a-t-on annoncé lors du Festival international de Dubai. L'objectif étant de renforcer le cinéma dans la région arabe. Ce projet a été initié par le producteur libanais Paul Badoudjian. Se sont joints à lui d'autres figures de différents pays de la région comme la Tunisienne Dora Bouchoucha, le Marocain Nabil Ayouch, le Palestinien Rashid Masharawi, l’Egyptien Mohamed Hefzy, l’Algérien Salem Brahimi, l’Irakienne Maysoon Pachachi, le Qatarien Hafiz Ali Ali, le Koweïtien Al Zain Al Sabah.
L'Arab Film Institute sera une plateforme de partage entre les professionnels du cinéma dans le monde arabe avec des sessions de formation qui leurs seront destinées et qui seront financées à travers les cotisations des membres ainsi que les parrainages. C'est cette institution qui organisera les Oscars, cela consiste en une cérémonie à l'américaine où seront récompensées les oeuvres cinématographiques arabes et qui verra le jour en 2018.
Un projet peut-il réussir face à la diversité de la production cinématographique dans le monde arabe? "Prenez Eurimages. Ses membres parlent entre eux 24 langues différentes, et ils arrivent à faire en sorte que ça fonctionne. Nous allons balbutier, apprendre petit à petit et sans doute faire des erreurs, mais même ces erreurs vaudront mieux que ce qui se fait à l’heure actuelle", a rétorqué l’Algérien Salem Brahimi cité par le site Méditerranée audiovisuelle.
L'Arab Film Institute sera une plateforme de partage entre les professionnels du cinéma dans le monde arabe avec des sessions de formation qui leurs seront destinées et qui seront financées à travers les cotisations des membres ainsi que les parrainages. C'est cette institution qui organisera les Oscars, cela consiste en une cérémonie à l'américaine où seront récompensées les oeuvres cinématographiques arabes et qui verra le jour en 2018.
Un projet peut-il réussir face à la diversité de la production cinématographique dans le monde arabe? "Prenez Eurimages. Ses membres parlent entre eux 24 langues différentes, et ils arrivent à faire en sorte que ça fonctionne. Nous allons balbutier, apprendre petit à petit et sans doute faire des erreurs, mais même ces erreurs vaudront mieux que ce qui se fait à l’heure actuelle", a rétorqué l’Algérien Salem Brahimi cité par le site Méditerranée audiovisuelle.
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