Le ministère des Affaires étrangères a affirmé dimanche accorder beaucoup d’intérêt aux déclarations de deux détenus libyens à une chaine de télévision dans lesquelles ils confirment l’exécution des journalistes sofiene Chourabi et Nadhir Ktari.
Dans un communiqué, le département indique que les mesures juridiques et diplomatiques nécessaires ont été prises et que la coordination est en cours pour vérifier ces informations, ajoutant que le ministère de la Justice a été contacté à cet effet.
Le ministère de la Justice, rappelle-t-on de même source, avait envoyé en mai 2015 le juge d’instruction en charge de l’affaire en Libye pour assister aux interrogatoires des personnes inculpées suite à l’annonce faite par le ministère de la justice libyen ( gouvernement de Tobrouk), en avril 2015, sur l’assassinat des deux journalistes tunisiens.
Rappelons que le juge d’instruction n’a pas pu obtenir des preuves matérielles confirmant l’exécution des journalistes tunisiens.
Le ministère des Affaires étrangères affirme, dans son communiqué, accorder toute l’importance requise à l’affaire des deux journalistes et souligne avoir mené plusieurs contacts avec les différentes parties libyennes ainsi qu’avec des parties régionales et internationales.
Le département ajoute que la Tunisie n’hésitera pas à déployer tous les moyens possibles pour élucider cette affaire.
Un des terroristes Libyens interrogés samedi par la chaine privée “Libya Al Hadath” a confié que les journalistes tunisiens ont été liquidés dans la forêt de Derna, pour avoir nui à l’image du prophète Mohamed.
Ces informations ne sont pas nouvelles affirme le porte-parole du tribunal de première instance de Tunis
Le porte-parole du tribunal de première instance de Tunis et du pôle judiciaire de lutte contre le terrorisme Sofiene Selliti a affirmé dimanche, à la TAP que les aveux des deux terroristes libyens sur l’exécution des journalistes Sofiene Chourabi et Nadhir Ktari contiennent les même informations fournies, précédemment, par deux témoins égyptiens.
Ces derniers avaient confié au juge d’instruction tunisien, pendant sa présence en Libye, que les deux journalistes ont été tués et enterrés dans une ferme à Derna. Mais pour des raisons sécuritaires, il n’a pas été possible pour le juge d’instruction de se rendre dans la ferme et une commission rogatoire a été donnée aux autorités libyennes pour poursuivre l’enquête, a-t-il rappelé.
Jusqu’à ce jour la, Tunisie n’a reçu aucune réponse sur le sort des journalistes enlevés, a signalé Selliti qui considère que le témoignage des deux égyptiens ne peut être utilisé comme preuve qu’après les analyses génétiques, l’examen des corps et éventuellement une autopsie.
Un membre présumé de l'organisation Etat islamique en Libye, détenu par les forces loyales au maréchal Khalifa Haftar dans l'est du pays, a confirmé l'exécution de deux journalistes tunisiens disparus en Libye en septembre 2014, dans des "aveux" diffusés par une télévision Libyenne et retranscris par l'AFP.
Tête rasée, le détenu qui portait une tenue de prisonnier orange, a affirmé samedi soir à cette télévision avoir été témoin de l'exécution de Sofiène Chourabi et Nadhir Ktari dans une forêt près de la ville de Derna, un ancien, fief de l'EI, dans l'est libyen.
Dans un communiqué, le département indique que les mesures juridiques et diplomatiques nécessaires ont été prises et que la coordination est en cours pour vérifier ces informations, ajoutant que le ministère de la Justice a été contacté à cet effet.
Le ministère de la Justice, rappelle-t-on de même source, avait envoyé en mai 2015 le juge d’instruction en charge de l’affaire en Libye pour assister aux interrogatoires des personnes inculpées suite à l’annonce faite par le ministère de la justice libyen ( gouvernement de Tobrouk), en avril 2015, sur l’assassinat des deux journalistes tunisiens.
Rappelons que le juge d’instruction n’a pas pu obtenir des preuves matérielles confirmant l’exécution des journalistes tunisiens.
Le ministère des Affaires étrangères affirme, dans son communiqué, accorder toute l’importance requise à l’affaire des deux journalistes et souligne avoir mené plusieurs contacts avec les différentes parties libyennes ainsi qu’avec des parties régionales et internationales.
Le département ajoute que la Tunisie n’hésitera pas à déployer tous les moyens possibles pour élucider cette affaire.
Un des terroristes Libyens interrogés samedi par la chaine privée “Libya Al Hadath” a confié que les journalistes tunisiens ont été liquidés dans la forêt de Derna, pour avoir nui à l’image du prophète Mohamed.
Ces informations ne sont pas nouvelles affirme le porte-parole du tribunal de première instance de Tunis
Le porte-parole du tribunal de première instance de Tunis et du pôle judiciaire de lutte contre le terrorisme Sofiene Selliti a affirmé dimanche, à la TAP que les aveux des deux terroristes libyens sur l’exécution des journalistes Sofiene Chourabi et Nadhir Ktari contiennent les même informations fournies, précédemment, par deux témoins égyptiens.
Ces derniers avaient confié au juge d’instruction tunisien, pendant sa présence en Libye, que les deux journalistes ont été tués et enterrés dans une ferme à Derna. Mais pour des raisons sécuritaires, il n’a pas été possible pour le juge d’instruction de se rendre dans la ferme et une commission rogatoire a été donnée aux autorités libyennes pour poursuivre l’enquête, a-t-il rappelé.
Jusqu’à ce jour la, Tunisie n’a reçu aucune réponse sur le sort des journalistes enlevés, a signalé Selliti qui considère que le témoignage des deux égyptiens ne peut être utilisé comme preuve qu’après les analyses génétiques, l’examen des corps et éventuellement une autopsie.
Un membre présumé de l'organisation Etat islamique en Libye, détenu par les forces loyales au maréchal Khalifa Haftar dans l'est du pays, a confirmé l'exécution de deux journalistes tunisiens disparus en Libye en septembre 2014, dans des "aveux" diffusés par une télévision Libyenne et retranscris par l'AFP.
Tête rasée, le détenu qui portait une tenue de prisonnier orange, a affirmé samedi soir à cette télévision avoir été témoin de l'exécution de Sofiène Chourabi et Nadhir Ktari dans une forêt près de la ville de Derna, un ancien, fief de l'EI, dans l'est libyen.
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