Le bras de fer entre le ministre de l’Education nationale, Néji Jalloul, et le Syndicat général de l’enseignement secondaire se poursuit. Après une série de rassemblements régionaux, les militants du syndicat se sont rassemblés, aujourd’hui, à la place de la Kasbah et devant le siège du ministère pour demander au gouvernement de réagir à leur principale requête qui n’est autre que le limogeage de Néji Jalloul.
En marge de sa participation à ce rassemblement, Mastouri Gammoudi, secrétaire général du syndicat de l'enseignement de base, a déclaré que les mouvements enseignants continueront jusqu’à ce que la présidence du gouvernement réponde positivement à leur requête. Pour Gammoudi, Néji Jalloul est déjà un ex ministre puisque les militants du syndicat estiment que l’année scolaire ne pourra être sauvée que si ce dernier n’est plus à la tête de leur ministère.
Dans une déclaration accordée à Shems FM, Lassaâd Yaâcoubi, secrétaire général du syndicat de l'Enseignement du secondaire, est revenu sur l’annonce de Néji Jalloul – qui a assuré que 48% de ceux qui quittent l’école le font à cause de la violence de certains enseignants – en estimant que, comme à son habitude, le ministre fait tout pour inciter à la haine contre le corps éducatif.
Invité à s’exprimer sur le prochain congrès électif de l’UGTT (prévu pour le 22 janvier courant), le secrétaire-général adjoint, Bouali Mbarki, a déclaré que la centrale syndicale ne s’est pas inscrite dans la requête principale du syndicat de l’enseignement secondaire et qui concerne le limogeage du ministre. Selon le secrétaire-général adjoint, l’UGTT n’a jamais demandé officiellement le limogeage d’un quelconque ministre puisque cela ne représente pas une réelle requête syndicale.
Par ailleurs, Bouali Mbarki a assuré que Néji Jalloul ne détient aucune influence sur la centrale syndicale en expliquant que tous les militants de l’UGTT ont toujours œuvré afin que leur institution garde son indépendance qui lui est vitale dans son travail.
En marge de sa participation à ce rassemblement, Mastouri Gammoudi, secrétaire général du syndicat de l'enseignement de base, a déclaré que les mouvements enseignants continueront jusqu’à ce que la présidence du gouvernement réponde positivement à leur requête. Pour Gammoudi, Néji Jalloul est déjà un ex ministre puisque les militants du syndicat estiment que l’année scolaire ne pourra être sauvée que si ce dernier n’est plus à la tête de leur ministère.
Dans une déclaration accordée à Shems FM, Lassaâd Yaâcoubi, secrétaire général du syndicat de l'Enseignement du secondaire, est revenu sur l’annonce de Néji Jalloul – qui a assuré que 48% de ceux qui quittent l’école le font à cause de la violence de certains enseignants – en estimant que, comme à son habitude, le ministre fait tout pour inciter à la haine contre le corps éducatif.
Invité à s’exprimer sur le prochain congrès électif de l’UGTT (prévu pour le 22 janvier courant), le secrétaire-général adjoint, Bouali Mbarki, a déclaré que la centrale syndicale ne s’est pas inscrite dans la requête principale du syndicat de l’enseignement secondaire et qui concerne le limogeage du ministre. Selon le secrétaire-général adjoint, l’UGTT n’a jamais demandé officiellement le limogeage d’un quelconque ministre puisque cela ne représente pas une réelle requête syndicale.
Par ailleurs, Bouali Mbarki a assuré que Néji Jalloul ne détient aucune influence sur la centrale syndicale en expliquant que tous les militants de l’UGTT ont toujours œuvré afin que leur institution garde son indépendance qui lui est vitale dans son travail.
Retrouvez les articles du HuffPost Tunisie sur notre page Facebook.