Après la cérémonie d’ouverture, tenue au Palais des congrès dimanche dernier, le 23e congrès de l’UGTT touche presque à sa fin et les congressistes enchaînent les réunions et la validation des différentes décisions.
Ainsi, la centrale syndicale a vu sa loi fondamentale revue par les congressistes qui ont voté en faveur d’un élargissement du bureau exécutif qui sera, désormais, composé de quinze dirigeants tout en gardant le droit de deux mandats pour le secrétaire-général de l’UGTT et les membres de son bureau exécutif.
Lors d’un point de presse tenu plus tôt dans la journée, le porte-parole du 23e congrès et secrétaire-général adjoint partant de l’UGTT, Belgacem Ayari, a annoncé que les congressistes ont validé 105 articles d’une totalité de 126 de la loi fondamentale. Ayari a par ailleurs déclaré qu’il a été décidé d’interdire de cumuler les responsabilités politiques et les responsabilités partisanes.
Questionné sur la question du quota, Belgacem Ayari a assuré qu’il a été décidé que la femme sera représentée au niveau de toutes les structures régionales et structurelles de la centrale syndicale. Toutefois, la règle du quota n’a pas été officialisée au niveau de la loi fondamentale et sera, à en croire le porte-parole du congrès, inscrite au niveau du règlement intérieur de l’UGTT.
Commentant ces nouveautés, le secrétaire-général partant de l’UGTT, Houcine Abassi, a salué ces progrès tout en estimant qu’il s’agit d’une partie de la réforme de la centrale qui doit continuer et avancer. Houcine Abassi a déclaré que la loi fondamentale de l’UGTT n’a pas été révisée et ce depuis le congrès tenu, en 2002, à Djerba. Et d’ajouter qu’il n’est pas totalement satisfait des révisions qui demeurent manquantes.
En dépit des avancées des travaux, l’atmosphère générale de ce 23e congrès n’a pas été privée de quelques tensions. Cela a commencé avec le porte-parole du bureau exécutif partant, Sami Tahri, qui a estimé, lors d’une déclaration accordée à Shems FM, que son collègue Kacem Afaya a choisi de se présenter sur une autre liste parce qu’il souhaite absolument devenir le nouveau secrétaire-général de la centrale.
De son côté, le secrétaire-général du syndicat de l’enseignement et candidat pour le nouveau bureau, Lassâd Yaâcoubi, a déclaré que l’UGTT a dévié de son chemin en s’impliquant, directement, dans les affaires politiques du pays. Et d’ajouter que le bureau exécutif partant a un réel problème d’évaluation par rapport à son bilan.
Ainsi, la centrale syndicale a vu sa loi fondamentale revue par les congressistes qui ont voté en faveur d’un élargissement du bureau exécutif qui sera, désormais, composé de quinze dirigeants tout en gardant le droit de deux mandats pour le secrétaire-général de l’UGTT et les membres de son bureau exécutif.
Lors d’un point de presse tenu plus tôt dans la journée, le porte-parole du 23e congrès et secrétaire-général adjoint partant de l’UGTT, Belgacem Ayari, a annoncé que les congressistes ont validé 105 articles d’une totalité de 126 de la loi fondamentale. Ayari a par ailleurs déclaré qu’il a été décidé d’interdire de cumuler les responsabilités politiques et les responsabilités partisanes.
Questionné sur la question du quota, Belgacem Ayari a assuré qu’il a été décidé que la femme sera représentée au niveau de toutes les structures régionales et structurelles de la centrale syndicale. Toutefois, la règle du quota n’a pas été officialisée au niveau de la loi fondamentale et sera, à en croire le porte-parole du congrès, inscrite au niveau du règlement intérieur de l’UGTT.
Commentant ces nouveautés, le secrétaire-général partant de l’UGTT, Houcine Abassi, a salué ces progrès tout en estimant qu’il s’agit d’une partie de la réforme de la centrale qui doit continuer et avancer. Houcine Abassi a déclaré que la loi fondamentale de l’UGTT n’a pas été révisée et ce depuis le congrès tenu, en 2002, à Djerba. Et d’ajouter qu’il n’est pas totalement satisfait des révisions qui demeurent manquantes.
En dépit des avancées des travaux, l’atmosphère générale de ce 23e congrès n’a pas été privée de quelques tensions. Cela a commencé avec le porte-parole du bureau exécutif partant, Sami Tahri, qui a estimé, lors d’une déclaration accordée à Shems FM, que son collègue Kacem Afaya a choisi de se présenter sur une autre liste parce qu’il souhaite absolument devenir le nouveau secrétaire-général de la centrale.
De son côté, le secrétaire-général du syndicat de l’enseignement et candidat pour le nouveau bureau, Lassâd Yaâcoubi, a déclaré que l’UGTT a dévié de son chemin en s’impliquant, directement, dans les affaires politiques du pays. Et d’ajouter que le bureau exécutif partant a un réel problème d’évaluation par rapport à son bilan.
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