Après 3 mois de préparation, la rencontre “Les élèves, une force de proposition” a été entamée dans les locaux de “Tunisie Alternatives” le centre des recherches et des études stratégiques de Mehdi Jomaa, en partenariat avec “Al Mechaal”, un club formé par 5 jeunes, présidé par Mehdi Cherif.
"Je suis très fier et très heureux, je remercie ceux qui sont venus de très loin," s'exprime Mehdi Cherif à l'ouverture de la manifestation.
En effet, 70 élèves de 14 à 19 ans, venus des quatre coins de la Tunisie, se sont réunis dans les locaux de "Tunisie Alternatives" pour discuter des réformes éducatives et proposer des recommandations qui seront transmises au ministère de l’Éducation.
"J'espère que dans quelques mois, ou quelques années, nous arriverons à changer les choses pour le mieux!" continue-t-il.
Neuf commissions ont été constituées pour étudier les divers axes de la réforme dont la culture, les arts, l’échec scolaire, la technologie, l’enseignement alternatif, la pédagogie, les surdoués, l’action associative, l’entrepreneuriat, la communication entre les élèves et le ministère, le calendrier scolaire et l’orientation scolaire.
L'objectif de cette manifestation est d'impliquer les élèves dans la réforme éducative à travers l’échange d’idées et les discussions avec des experts.
Raja Farhat était parmi eux et s'est adressé aux élèves présents en leur soulignant l'importance de la Culture mais aussi en parlant de l'histoire de la Tunisie. Du côté de Tunisie Alternatives étaient présents Mehdi Jomaa, Fethi Jarraya, Mourad Sakli et Neila Chaabane qui ont soutenu les élèves et les ont accompagné pendant leurs débats.
"Il s’agit de la première initiative de ce genre en Tunisie, où la société civile associe les élèves à une réflexion autour du système éducatif et sa réforme." avait déclaré Neila Chaabane, Secrétaire générale de “Tunisie Alternatives” à la TAP.
De son côté, Mehdi Cherif a déclaré que cette manifestation ambitionne de montrer la capacité de prise de décision chez l’élève tunisien, à travers sa participation à la réforme éducative.
“Il est important d’impliquer les élèves dans le processus de réforme, parce qu’ils sont les premiers concernés, et qu’ils sont directement exposés, au quotidien, aux problématiques qui se posent dans ce domaine”, a expliqué Neila Chaabane.
"Je suis très fier et très heureux, je remercie ceux qui sont venus de très loin," s'exprime Mehdi Cherif à l'ouverture de la manifestation.
En effet, 70 élèves de 14 à 19 ans, venus des quatre coins de la Tunisie, se sont réunis dans les locaux de "Tunisie Alternatives" pour discuter des réformes éducatives et proposer des recommandations qui seront transmises au ministère de l’Éducation.
"J'espère que dans quelques mois, ou quelques années, nous arriverons à changer les choses pour le mieux!" continue-t-il.
Neuf commissions ont été constituées pour étudier les divers axes de la réforme dont la culture, les arts, l’échec scolaire, la technologie, l’enseignement alternatif, la pédagogie, les surdoués, l’action associative, l’entrepreneuriat, la communication entre les élèves et le ministère, le calendrier scolaire et l’orientation scolaire.
L'objectif de cette manifestation est d'impliquer les élèves dans la réforme éducative à travers l’échange d’idées et les discussions avec des experts.
Raja Farhat était parmi eux et s'est adressé aux élèves présents en leur soulignant l'importance de la Culture mais aussi en parlant de l'histoire de la Tunisie. Du côté de Tunisie Alternatives étaient présents Mehdi Jomaa, Fethi Jarraya, Mourad Sakli et Neila Chaabane qui ont soutenu les élèves et les ont accompagné pendant leurs débats.
"Il s’agit de la première initiative de ce genre en Tunisie, où la société civile associe les élèves à une réflexion autour du système éducatif et sa réforme." avait déclaré Neila Chaabane, Secrétaire générale de “Tunisie Alternatives” à la TAP.
De son côté, Mehdi Cherif a déclaré que cette manifestation ambitionne de montrer la capacité de prise de décision chez l’élève tunisien, à travers sa participation à la réforme éducative.
“Il est important d’impliquer les élèves dans le processus de réforme, parce qu’ils sont les premiers concernés, et qu’ils sont directement exposés, au quotidien, aux problématiques qui se posent dans ce domaine”, a expliqué Neila Chaabane.
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