Le chef du gouvernement, Youssef Chahed, s’est rendu, mardi, le 14 février, en Allemagne pour s’entretenir avec la chancelière Angela Merkel.
Avant son arrivée, Youssef Chahed a accordé un entretien au journal allemand Blid où il est revenu sur les dernières déclarations de la chancelière allemande qui avait assuré que la Tunisie a tout fait afin de bloquer l’extradition des immigrants demandeurs de refuge.
Le chef du gouvernement a assuré que l’Etat tunisien n’a commis aucune erreur au niveau des procédures qui ont été, toutes, respectées. Revenant sur l’attentat qui avait frappé Berlin en décembre dernier, Youssef Chahed a indiqué que l’Etat tunisien attendait encore les preuves tangibles qui lui permettraient de s’assurer que le terroriste en question était bel et bien Tunisien. Et d’ajouter que, de toute manière, en quittant la Tunisie en 2011, Anis Amri (le terroriste en question) ne présentait aucun signe de radicalisation.
De son côté, et lors d’un point de presse conjoint avec le chef du gouvernement tunisien, Angela Merkel a assuré que la Tunisie ne sera jamais une terre de passage pour les réfugiés et qu’elle n’hébergera aucun campement de ces derniers.
La chancelière allemande a, par ailleurs, assuré que les immigrants tunisiens clandestins ne seront pas expulsés et qu’ils seront extradés vers leur pays avec leur accord. Merkel a annoncé que son pays aidera ces personnes financièrement afin qu’elles puissent, une fois de retour au pays, lancer leurs propres projets.
Angela Merkel a déclaré que cent-seize Tunisiens ont été expulsés de l’Allemagne au cours de l’année dernière et qu’il reste mille-cinq-cent autres qui devront être extradés. Elle a insisté sur la nécessité d’accélérer les procédures afin que ces Tunisiens rentrent au pays surtout qu’il existe un nombre peu important d’entre eux qui représentent un danger potentiel relatif au terrorisme et à la radicalisation.
Youssef Chahed a annoncé, quant à lui, au cours de la même conférence, que la Tunisie salue fortement "le plan Marchal" de l’Allemagne destiné au continent Africain. Le chef du gouvernement tunisien a insisté sur le rôle majeur que jouera le pays dans l’application et la concrétisation de ce plan à travers la fondation d’une université tuniso-allemande et un centre régional polyvalent dédié à la formation professionnelle.
Avant son arrivée, Youssef Chahed a accordé un entretien au journal allemand Blid où il est revenu sur les dernières déclarations de la chancelière allemande qui avait assuré que la Tunisie a tout fait afin de bloquer l’extradition des immigrants demandeurs de refuge.
Le chef du gouvernement a assuré que l’Etat tunisien n’a commis aucune erreur au niveau des procédures qui ont été, toutes, respectées. Revenant sur l’attentat qui avait frappé Berlin en décembre dernier, Youssef Chahed a indiqué que l’Etat tunisien attendait encore les preuves tangibles qui lui permettraient de s’assurer que le terroriste en question était bel et bien Tunisien. Et d’ajouter que, de toute manière, en quittant la Tunisie en 2011, Anis Amri (le terroriste en question) ne présentait aucun signe de radicalisation.
De son côté, et lors d’un point de presse conjoint avec le chef du gouvernement tunisien, Angela Merkel a assuré que la Tunisie ne sera jamais une terre de passage pour les réfugiés et qu’elle n’hébergera aucun campement de ces derniers.
La chancelière allemande a, par ailleurs, assuré que les immigrants tunisiens clandestins ne seront pas expulsés et qu’ils seront extradés vers leur pays avec leur accord. Merkel a annoncé que son pays aidera ces personnes financièrement afin qu’elles puissent, une fois de retour au pays, lancer leurs propres projets.
Angela Merkel a déclaré que cent-seize Tunisiens ont été expulsés de l’Allemagne au cours de l’année dernière et qu’il reste mille-cinq-cent autres qui devront être extradés. Elle a insisté sur la nécessité d’accélérer les procédures afin que ces Tunisiens rentrent au pays surtout qu’il existe un nombre peu important d’entre eux qui représentent un danger potentiel relatif au terrorisme et à la radicalisation.
Youssef Chahed a annoncé, quant à lui, au cours de la même conférence, que la Tunisie salue fortement "le plan Marchal" de l’Allemagne destiné au continent Africain. Le chef du gouvernement tunisien a insisté sur le rôle majeur que jouera le pays dans l’application et la concrétisation de ce plan à travers la fondation d’une université tuniso-allemande et un centre régional polyvalent dédié à la formation professionnelle.
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