Des parents d’élèves, des éducateurs et des adhérents aux associations Tunisie libre et de parents d’élèves, se sont rassemblés, dimanche le 5 mars, à la place de la Kasbah, à Tunis, pour fustiger “les agissements destructeurs du syndicat général de l’enseignement secondaire” (selon leurs termes) et réclamer le départ de son secrétaire général, Lassâad Yacoubi.
Les manifestants condamnent la position hostile du syndicat face à toutes réformes du système éducatif tunisien, accusant le secrétaire général Lassâad Yacoubi d’agir pour des intérêts étriqués dictés par des conflits politiques.
Ils pointent du doigt ce qu’ils qualifient de “dictature du syndicat” qui, selon eux, porte préjudice aux intérêts, à la fois, des élèves, des éducateurs et des parents d’élèves, appelant l’Union générale tunisienne du travail à s’occuper des problèmes réels des Tunisiens loin des conflits politiques et des tensions ravivées par les prochaines élections municipales.
Les participants au rassemblement ont signé une requête au procureur de la République du Tribunal de première instance de Tunis contre Lassaâd Yacoubi et Mastouri Gammoudi pour utilisation abusive de leur qualité de responsables syndicaux afin de bloquer le service public, empêcher le déroulement normal du travail dans les établissements éducatifs et inciter les enseignants et les instituteurs à observer des mouvements successifs de protestation.
Le Secrétaire général du syndicat de l’enseignement secondaire Lassaad Yaccoubi a affirmé, samedi le 4 mars, que la suspension des cours reste envisageable tant que Néji Jalloul est à la tête du ministère de l’Education.
“Le mouvement de protestation des enseignants et des syndicalistes ne s’arrêtera pas avant qu’une alternative ne soit trouvée à Néji Jalloul à la tête du ministère de l’Education”, a déclaré Yaacoubi à l’agence TAP en marge du Congrès du mouvement al-Chaab qui se tient à Hammamet.
La commission administrative du syndicat de l’enseignement supérieur a été reportée à samedi prochain “jusqu’à ce que les tensions soient apaisées et que les concertations entre enseignants et syndicalistes des régions soient approfondies”, a-t-il dit.
Les manifestants condamnent la position hostile du syndicat face à toutes réformes du système éducatif tunisien, accusant le secrétaire général Lassâad Yacoubi d’agir pour des intérêts étriqués dictés par des conflits politiques.
Ils pointent du doigt ce qu’ils qualifient de “dictature du syndicat” qui, selon eux, porte préjudice aux intérêts, à la fois, des élèves, des éducateurs et des parents d’élèves, appelant l’Union générale tunisienne du travail à s’occuper des problèmes réels des Tunisiens loin des conflits politiques et des tensions ravivées par les prochaines élections municipales.
Les participants au rassemblement ont signé une requête au procureur de la République du Tribunal de première instance de Tunis contre Lassaâd Yacoubi et Mastouri Gammoudi pour utilisation abusive de leur qualité de responsables syndicaux afin de bloquer le service public, empêcher le déroulement normal du travail dans les établissements éducatifs et inciter les enseignants et les instituteurs à observer des mouvements successifs de protestation.
Le Secrétaire général du syndicat de l’enseignement secondaire Lassaad Yaccoubi a affirmé, samedi le 4 mars, que la suspension des cours reste envisageable tant que Néji Jalloul est à la tête du ministère de l’Education.
LIRE AUSSI:Lassaad Yaacoubi: La suspension des cours reste envisageable
“Le mouvement de protestation des enseignants et des syndicalistes ne s’arrêtera pas avant qu’une alternative ne soit trouvée à Néji Jalloul à la tête du ministère de l’Education”, a déclaré Yaacoubi à l’agence TAP en marge du Congrès du mouvement al-Chaab qui se tient à Hammamet.
La commission administrative du syndicat de l’enseignement supérieur a été reportée à samedi prochain “jusqu’à ce que les tensions soient apaisées et que les concertations entre enseignants et syndicalistes des régions soient approfondies”, a-t-il dit.
LIRE AUSSI: Le bras de fer continue entre Néji Jalloul et le syndicat de l'enseignement secondaire
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