Les travaux de la 19ème session du comité de suivi tuniso-algérien qui se sont tenus les 4 et 5 mars à Alger ont pris fin dimanche sous la présidence du ministre tunisien des Affaires étrangères, Khémaies Jhinaoui et du ministre algérien des Affaires maghrébines, de l’Union africaine et de la Ligue des Etats arabes, Abdelkader Messahel.
Jhinaoui, s’est entretenu, par ailleurs, à Alger, avec des responsables algériens sur les moyens de renforcer la coopération bilatérale, en prévision de la tenue de la 21e session de la Grande commission mixte tunio-algérienne prévue, au milieu de la semaine prochaine, à Tunis.
Cette rencontre a permis de ” consolider davantage les échanges et la concertation politique ” et d’examiner ” les questions de développement des régions transfrontalières, la libre circulation des personnes et des marchandises ainsi que la situation sécuritaire “. Les deux parties ont, par ailleurs, "abordé un certain nombre de questions régionales et internationales d’intérêt commun", rapporte l’agence de presse algérienne (APS).
Dans une déclaration de presse, le ministre des Affaires étrangères s’est félicité des résultats ” importants ” issus de la réunion du comité de suivi de la Grande commission mixte tuniso-algérienne. Celle-ci a porté sur tous les domaines de coopération tels que le tourisme, l’énergie et les transports, a-t-il précisé.
La rencontre a permis de passer en revue l’état des relations bilatérales et les moyens de les promouvoir dans l’intérêt des deux pays. Des questions d’intérêt commun y on été évoquées dont l’Union du Maghreb arabe et les moyens de consolider la coopération dans ce domaine. Il a insisté, également, sur l’importance d’œuvrer à l’amélioration des conditions de vie des Algériens résidant en Tunisie et des Tunisiens établis en Algérie.
Concernant la situation en Libye, Jhinaoui a réitéré ”l’importance pour la Tunisie, l’Algérie et l’Egypte de conjuguer leurs efforts pour aider les frères libyens à dépasse leurs différends et parvenir à une solution politique consensuelle."
Signature le 9 mars d'un projet de coopération sécuritaire
La Tunisie et l’Algérie signeront à Tunis le 9 mars courant un protocole d’accord sur la coopération sécuritaire à l’occasion de la tenue de la 21ème session de la haute commission mixte tuniso-algérienne, a annoncé le ministre des Affaires maghrébines, de l’Union africaine et de la Ligue des Etats arabes, Abdelkader Messahel.
L’accord “consolidera le processus de concertation entre les deux pays autour du règlement des crises que connait la région notamment en Libye”, a indiqué Messahel à l’ouverture de la 19ème session du comité de suivi tuniso-algérien.
Il a précisé que cet accord “permettra aussi de mieux coordonner les efforts afin de réaliser un rapprochement entre les différentes parties libyennes de manière à garantir la réconciliation nationale à travers un dialogue inter-libyen inclusif sans ingérence dans le cadre de la solution politique escomptée et fondée sur le processus de règlement parrainé par les Nations unies”, rapporte l’Agence algérienne APS.
De son coté, le ministre des Affaires étrangères Khemaies Jhinaoui a estimé que cet accord sera “une concrétisation de la coopération sécuritaire et militaire importante entre les deux pays”.
Jhinaoui, s’est entretenu, par ailleurs, à Alger, avec des responsables algériens sur les moyens de renforcer la coopération bilatérale, en prévision de la tenue de la 21e session de la Grande commission mixte tunio-algérienne prévue, au milieu de la semaine prochaine, à Tunis.
Le ministre des Affaires étrangères a été reçu, dimanche, par le Premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal.
L’entretien a porté ” sur la manière d’améliorer les relations traditionnelles de fraternité et d’amitié qui lient les deux pays, et ce à la veille de la tenue de la 21e session de la Grande commission mixte .
Cette rencontre a permis de ” consolider davantage les échanges et la concertation politique ” et d’examiner ” les questions de développement des régions transfrontalières, la libre circulation des personnes et des marchandises ainsi que la situation sécuritaire “. Les deux parties ont, par ailleurs, "abordé un certain nombre de questions régionales et internationales d’intérêt commun", rapporte l’agence de presse algérienne (APS).
Dans une déclaration de presse, le ministre des Affaires étrangères s’est félicité des résultats ” importants ” issus de la réunion du comité de suivi de la Grande commission mixte tuniso-algérienne. Celle-ci a porté sur tous les domaines de coopération tels que le tourisme, l’énergie et les transports, a-t-il précisé.
Un accord sécuritaire tuniso-algérien sera également signé, le 9 mars 2017, à Tunis, annonce Khemaies Jhinaoui, à l’issue de son entretien, dimanche, à Alger, avec son homologue algérien, Ramtane Lamamra.
La rencontre a permis de passer en revue l’état des relations bilatérales et les moyens de les promouvoir dans l’intérêt des deux pays. Des questions d’intérêt commun y on été évoquées dont l’Union du Maghreb arabe et les moyens de consolider la coopération dans ce domaine. Il a insisté, également, sur l’importance d’œuvrer à l’amélioration des conditions de vie des Algériens résidant en Tunisie et des Tunisiens établis en Algérie.
Concernant la situation en Libye, Jhinaoui a réitéré ”l’importance pour la Tunisie, l’Algérie et l’Egypte de conjuguer leurs efforts pour aider les frères libyens à dépasse leurs différends et parvenir à une solution politique consensuelle."
Signature le 9 mars d'un projet de coopération sécuritaire
La Tunisie et l’Algérie signeront à Tunis le 9 mars courant un protocole d’accord sur la coopération sécuritaire à l’occasion de la tenue de la 21ème session de la haute commission mixte tuniso-algérienne, a annoncé le ministre des Affaires maghrébines, de l’Union africaine et de la Ligue des Etats arabes, Abdelkader Messahel.
L’accord “consolidera le processus de concertation entre les deux pays autour du règlement des crises que connait la région notamment en Libye”, a indiqué Messahel à l’ouverture de la 19ème session du comité de suivi tuniso-algérien.
Il a précisé que cet accord “permettra aussi de mieux coordonner les efforts afin de réaliser un rapprochement entre les différentes parties libyennes de manière à garantir la réconciliation nationale à travers un dialogue inter-libyen inclusif sans ingérence dans le cadre de la solution politique escomptée et fondée sur le processus de règlement parrainé par les Nations unies”, rapporte l’Agence algérienne APS.
Messahel a affirmé que l’action commune avait atteint dans son volet sécuritaire “un haut niveau dans le domaine de la formation et de l’échange d’informations dans le but de renforcer les capacités de l’Algérie et de la Tunisie pour faire face aux menaces du terrorisme et du crime organisé”, ajoute la même source.
De son coté, le ministre des Affaires étrangères Khemaies Jhinaoui a estimé que cet accord sera “une concrétisation de la coopération sécuritaire et militaire importante entre les deux pays”.
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