“La Tunisie deviendrait membre du COMESA (marché commun de l’Afrique orientale et australe) en octobre 2017” a déclaré le secrétaire général Sindiso Ngwenya à l’issue d’un entretien avec le chef du gouvernement Youssef Chahed, au palais Dar Dhiafa, à Carthage.
Ce montant, a-t-il dit, devait se situer au cours des prochaines années entre 6000 et 7000 milliards de dollars, une valeur bien plus élevée que celle prévue par le bureau de conseil américain Mc Kenzy établie à 3000 milliards de dollars en 2025, selon lui.
Il a estimé que le marché est ouvert et pourrait accepter l’adhésion d’autres pays africains, indiquant que des négociations sont actuellement en cours avec l’Algérie, à ce propos, l’objectif étant de réaliser la complémentarité africaine, a soutenu le responsable.
Pour rappel, la demande d’adhésion de la Tunisie au COMESA avait été acceptée en octobre 2016, lors de la réunion des présidents des gouvernements des Etats membres de ce marché, la Tunisie répondant à la condition de voisinage, exigée par le COMESA (du fait de l’existence de frontières entre la Tunisie et la Libye d’ores et déjà membre dudit marché).
Le responsable, actuellement en visite en Tunisie, pour assister au démarrage des négociations relatives à l’adhésion de la Tunisie a fait savoir que les échanges dans le cadre de ce marché qui regroupe 19 pays africains ont dépassé 4500 milliards de dollars.
Ce montant, a-t-il dit, devait se situer au cours des prochaines années entre 6000 et 7000 milliards de dollars, une valeur bien plus élevée que celle prévue par le bureau de conseil américain Mc Kenzy établie à 3000 milliards de dollars en 2025, selon lui.
Il a estimé que le marché est ouvert et pourrait accepter l’adhésion d’autres pays africains, indiquant que des négociations sont actuellement en cours avec l’Algérie, à ce propos, l’objectif étant de réaliser la complémentarité africaine, a soutenu le responsable.
Pour rappel, la demande d’adhésion de la Tunisie au COMESA avait été acceptée en octobre 2016, lors de la réunion des présidents des gouvernements des Etats membres de ce marché, la Tunisie répondant à la condition de voisinage, exigée par le COMESA (du fait de l’existence de frontières entre la Tunisie et la Libye d’ores et déjà membre dudit marché).
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