La Bourse de Tunis a signé aujourd’hui un protocole d’accord avec Nasdaq Dubaï. Ce mémorandum d’entente a été signé par Hamed Ali, Directeur Général de Nasdaq Dubaï, la bourse internationale qui sert la région MENA et l’Afrique et Bilel Sahnoun, Directeur Général de la Bourse de Tunis.
L’objectif de cet accord étant "d’explorer les possibilités de collaboration et favoriser la double cotation sur les deux bourses. Il prend aussi en considération les pistes de promotion des produits et solutions des marchés de capitaux islamiques", explique un communiqué de la Bourse de Tunis.
M. Bilel Sahnoun, Directeur Général de la Bourse de Tunis, a déclaré: "Cet accord marquant favorise une étroite coopération entre les deux bourses au profit des émetteurs, des investisseurs et des intermédiaires en bourse en Tunisie, aux Emirats Arabes Unis et dans la large région MENA. La base d'investisseurs mondiaux et régionaux de Nasdaq Dubai, combinée à sa structure réglementaire internationale, en font une plate-forme idéale à la collaboration avec la Bourse de Tunis pour soutenir les initiatives de levée de capitaux par une large gamme d’entités", lit-on dans le même communiqué.
Ainsi, la Tunisie serait implicitement en phase de préparer à court terme l’émission de sukuks islamiques sur la bourse internationale de Dubaï. Rappelons à ce titre que les lois de finances 2015 et 2016 prévoyaient l’émission de sukuks islamiques pour une valeur 1 milliard de dinars. Après tergiversations, il semble que le gouvernement s’est enfin décidé de recourir à la finance islamique pour faire face à l’élargissement alarmant du déficit budgétaire. D’où l’objectif de ce partenariat stratégique entre la Bourse de Tunis et son homologue Nasdaq Dubaï.
Rappelons que la loi relative au sukuks islamiques a été promulguée en juillet 2013. La loi n° 2013-30 du 30 juillet 2013 publiée au JORT en date du 2 août 2013 définit dans son article premier les sukuks comme étant: "des titres négociables qui représentent des parts communes à valeur égale dans la propriété de biens, d’usufruit, de services, de droits, existants ou qui seront créés ou un mélange de biens, d’usufruit, de services, de monnaies et créances du produit de la souscription. Ils sont émis dans le cadre d’un contrat conformément aux normes charaïques et sur la base du principe de partage de profits et de pertes".
L’objectif de cet accord étant "d’explorer les possibilités de collaboration et favoriser la double cotation sur les deux bourses. Il prend aussi en considération les pistes de promotion des produits et solutions des marchés de capitaux islamiques", explique un communiqué de la Bourse de Tunis.
M. Bilel Sahnoun, Directeur Général de la Bourse de Tunis, a déclaré: "Cet accord marquant favorise une étroite coopération entre les deux bourses au profit des émetteurs, des investisseurs et des intermédiaires en bourse en Tunisie, aux Emirats Arabes Unis et dans la large région MENA. La base d'investisseurs mondiaux et régionaux de Nasdaq Dubai, combinée à sa structure réglementaire internationale, en font une plate-forme idéale à la collaboration avec la Bourse de Tunis pour soutenir les initiatives de levée de capitaux par une large gamme d’entités", lit-on dans le même communiqué.
Ainsi, la Tunisie serait implicitement en phase de préparer à court terme l’émission de sukuks islamiques sur la bourse internationale de Dubaï. Rappelons à ce titre que les lois de finances 2015 et 2016 prévoyaient l’émission de sukuks islamiques pour une valeur 1 milliard de dinars. Après tergiversations, il semble que le gouvernement s’est enfin décidé de recourir à la finance islamique pour faire face à l’élargissement alarmant du déficit budgétaire. D’où l’objectif de ce partenariat stratégique entre la Bourse de Tunis et son homologue Nasdaq Dubaï.
Rappelons que la loi relative au sukuks islamiques a été promulguée en juillet 2013. La loi n° 2013-30 du 30 juillet 2013 publiée au JORT en date du 2 août 2013 définit dans son article premier les sukuks comme étant: "des titres négociables qui représentent des parts communes à valeur égale dans la propriété de biens, d’usufruit, de services, de droits, existants ou qui seront créés ou un mélange de biens, d’usufruit, de services, de monnaies et créances du produit de la souscription. Ils sont émis dans le cadre d’un contrat conformément aux normes charaïques et sur la base du principe de partage de profits et de pertes".
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