Depuis le débat de la semaine, la ville d’El Jem – gouvernorat de Mahdia – a vécu sur le rythme de plusieurs protestations (nocturnes pour la plupart) contre la réouverture d’un point de vente de boisons alcoolisées à l’entrée de la ville. Pendant quelques jours, de violentes confrontations ont eu lieu entre les forces de l’ordre et les manifestants et certains d’entre eux ont été arrêtés puis relâchés.
Les protestataires ont de même bloqué le réseau ferroviaire de la région ce qui a causé des pertes avoisinant les 120 mille dinars. Une estimation communiquée par la Société Nationale des Chemins de Fer Tunisiens (SNCFT) par son directeur de la communication, Hassène Miaâdi.
A l’issue d’une réunion tenue au cours de la journée de mercredi, des composantes de la société civile et des partis politiques au Jem ont publié un communiqué appelant le gouvernement à retirer l’autorisation de la vente des boissons alcoolisées afin que la ville puisse retrouver son calme.
Le lendemain, le mouvement d’Ennahdha a publié, à son tour, un communiqué où il a estimé que la réouverture du point de vente en question représente doit être revue puisqu’elle déstabilise l’ordre public dans la ville d’El Jem.
Quelques minutes plus tard, la représentation régionale du mouvement de Nidaa Tounes à Mahdia a elle aussi publié un communiqué, consacré entièrement à l’affaire d’El Jem, où elle a exprimé son insatisfaction de la réouverture du point de vente qui a causé tous les troubles dans la ville. La représentation de Nidaa Tounes a par ailleurs expliqué qu’elle rejette son genre de projet qui ne contribue nullement au développement de la région tout en appelant les autorités nationales et locales à intervenir sur le champ afin de fermer le magasin.
Ainsi, le magasin a fermé ses portes, sous les ordres du ministère de l’Intérieur, le jeudi 23 mars 2017. Quelques heures plus tard, El Jem a retrouvé son calme et la vie a repris son cours.
Des Tunisiens s'interrogent
La fermeture de ce débit de boissons alcoolisées a fait parler sur les réseaux sociaux. Mais ce qui a encore plus retenu l'attention des internautes, c'est la manière dont les parties politiques ont dicté leur choix:
Les protestataires ont de même bloqué le réseau ferroviaire de la région ce qui a causé des pertes avoisinant les 120 mille dinars. Une estimation communiquée par la Société Nationale des Chemins de Fer Tunisiens (SNCFT) par son directeur de la communication, Hassène Miaâdi.
A l’issue d’une réunion tenue au cours de la journée de mercredi, des composantes de la société civile et des partis politiques au Jem ont publié un communiqué appelant le gouvernement à retirer l’autorisation de la vente des boissons alcoolisées afin que la ville puisse retrouver son calme.
Le lendemain, le mouvement d’Ennahdha a publié, à son tour, un communiqué où il a estimé que la réouverture du point de vente en question représente doit être revue puisqu’elle déstabilise l’ordre public dans la ville d’El Jem.
Quelques minutes plus tard, la représentation régionale du mouvement de Nidaa Tounes à Mahdia a elle aussi publié un communiqué, consacré entièrement à l’affaire d’El Jem, où elle a exprimé son insatisfaction de la réouverture du point de vente qui a causé tous les troubles dans la ville. La représentation de Nidaa Tounes a par ailleurs expliqué qu’elle rejette son genre de projet qui ne contribue nullement au développement de la région tout en appelant les autorités nationales et locales à intervenir sur le champ afin de fermer le magasin.
Ainsi, le magasin a fermé ses portes, sous les ordres du ministère de l’Intérieur, le jeudi 23 mars 2017. Quelques heures plus tard, El Jem a retrouvé son calme et la vie a repris son cours.
Des Tunisiens s'interrogent
La fermeture de ce débit de boissons alcoolisées a fait parler sur les réseaux sociaux. Mais ce qui a encore plus retenu l'attention des internautes, c'est la manière dont les parties politiques ont dicté leur choix:
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