Usant de l'humour avec un style satirique et puisant dans la sagesse populaire et la mémoire collective façonnée par des proverbes et des personnages comme Haj Khouf ou Khalti Traki, Mohamed Doggui, allié à Anis Mahrsi pour les caricature, publient un livre décalé sur la Tunisie post-révolution. "Khalti Khadhra" dresse ainsi un tableau des chamboulements quotidiens qui ont émaillé la Tunisie depuis 2011.
Le livre, en dialecte tunisien, est de ce fait accessible à tous. Il est un genre inédit en Tunisie. Inédit également pour son auteur. Mohamed Doggui, professeur d’espagnol à la faculté des lettres de la Manouba, a toujours écrit dans cette langue et a excellé à travers elle, en publiant cinq livres en Espagne (3 recueils de poésie, un roman et un conte). Un talent qui lui a valu d'être nommé Lauréat du prix littéraire "Cuentos del Estrecho"(Espagne) et de la Mention d’honneur "Juegos Florales de Primavera"(Argentine). En explorant ce genre nouveau, il s'ouvre d'autres horizons.
Voici trois raisons du HuffPost Tunisie pour lire "Khalti Khadhra":
Un exercice unique: Ce livre est un genre peu exploité en Tunisie. L'usage du dialecte tunisien combiné aux caricatures est loin d'être dénué de difficultés. Les difficultés de trouver le juste ton sans sombrer dans la facilité et le simplisme. En cela, "Khalti Khadhra" a pu éviter ces travers en maniant profondeur et humour.
Un livre pour le Tunisien lambda: Avec ce style, le livre est à la portée de Tunisiens, petits et grands. Pas besoin d'être un savant en langue arabe pour comprendre. C'est un ouvrage en tunisien et pour les Tunisiens. Une facilité qui fait de lui, un livre de vulgarisation d'une réalité tunisienne souvent complexe.
Un livre pour expliquer autrement: Loin des grands discours et des longs écrits, le livre se veut un "remède contre toute forme de déprime pour tous les Tunisiens" et "un apprentissage du sourire", a affirmé Mohamed Doggui au HuffPost Tunisie. Et en ces temps morose, beaucoup de Tunisiens en ont fortement besoin.
Le livre, en dialecte tunisien, est de ce fait accessible à tous. Il est un genre inédit en Tunisie. Inédit également pour son auteur. Mohamed Doggui, professeur d’espagnol à la faculté des lettres de la Manouba, a toujours écrit dans cette langue et a excellé à travers elle, en publiant cinq livres en Espagne (3 recueils de poésie, un roman et un conte). Un talent qui lui a valu d'être nommé Lauréat du prix littéraire "Cuentos del Estrecho"(Espagne) et de la Mention d’honneur "Juegos Florales de Primavera"(Argentine). En explorant ce genre nouveau, il s'ouvre d'autres horizons.
Voici trois raisons du HuffPost Tunisie pour lire "Khalti Khadhra":
Un exercice unique: Ce livre est un genre peu exploité en Tunisie. L'usage du dialecte tunisien combiné aux caricatures est loin d'être dénué de difficultés. Les difficultés de trouver le juste ton sans sombrer dans la facilité et le simplisme. En cela, "Khalti Khadhra" a pu éviter ces travers en maniant profondeur et humour.
Un livre pour le Tunisien lambda: Avec ce style, le livre est à la portée de Tunisiens, petits et grands. Pas besoin d'être un savant en langue arabe pour comprendre. C'est un ouvrage en tunisien et pour les Tunisiens. Une facilité qui fait de lui, un livre de vulgarisation d'une réalité tunisienne souvent complexe.
Un livre pour expliquer autrement: Loin des grands discours et des longs écrits, le livre se veut un "remède contre toute forme de déprime pour tous les Tunisiens" et "un apprentissage du sourire", a affirmé Mohamed Doggui au HuffPost Tunisie. Et en ces temps morose, beaucoup de Tunisiens en ont fortement besoin.
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