La justice belge a abandonné vendredi les charges liées au terrorisme contre le Tunisien de 39 ans arrêté le 23 mars après avoir mis en danger avec sa voiture des piétons dans la ville belge d'Anvers (nord), a indiqué le parquet fédéral belge.
Une juridiction d'instruction, la Chambre des mises en accusation, a prolongé d'un mois la détention préventive de Mohamed R., mais uniquement pour des "infractions à la législation sur les armes", a précisé le parquet dans un communiqué.
En revanche, "la Cour est d'avis qu'il n'y a pas assez d'indices sérieux concernant les infractions à la législation sur le terrorisme", suivant ainsi "la thèse retenue par le parquet fédéral", ajoute le communiqué.
Mohamed R. avait été arrêté le 23 mars en fin de matinée après avoir "mis en danger" des piétons en roulant à très vive allure, sans faire de blessés, sur le Meir, une des principales artères commerçantes de Belgique, située dans le centre de la métropole flamande.
Au lendemain des faits, il avait été inculpé "du chef de tentative d'assassinat à caractère terroriste, tentative de coups et blessures à
caractère terroriste et infraction à la législation sur les armes" et placé en détention provisoire.
Mais les autorités belges s'étaient montrées prudentes sur le caractère terroriste ou non des événements, survenus au lendemain de l'attaque commise à proximité du Parlement britannique à Londres, dont le bilan s'élève à cinq morts.
Les premières explications du suspect "n'avaient aucun sens", avait indiqué à l'AFP une source proche de l'enquête. Des chefs d'inculpation larges avaient été choisis par précaution par le juge d'instruction, selon une autre source.
Les services de sécurité s'étaient rapidement mobilisés après ces faits qui se sont déroulés au lendemain du premier anniversaire des attentats du métro et de l'aéroport de Bruxelles (32 morts le 22 mars 2016) et après deux attaques terroristes à Londres et à l'aéroport parisien d'Orly en moins d'une semaine.
Le suspect possède une adresse à Lens (nord de la France) et n'était connu jusque-là que pour des faits de petite délinquance, du type conduite en état d'ivresse ou usage de stupéfiants. Il n'était pas fiché S (sûreté de l'Etat) et n'était pas signalé comme radicalisé, avait indiqué à l'AFP une source policière française.
Une juridiction d'instruction, la Chambre des mises en accusation, a prolongé d'un mois la détention préventive de Mohamed R., mais uniquement pour des "infractions à la législation sur les armes", a précisé le parquet dans un communiqué.
En revanche, "la Cour est d'avis qu'il n'y a pas assez d'indices sérieux concernant les infractions à la législation sur le terrorisme", suivant ainsi "la thèse retenue par le parquet fédéral", ajoute le communiqué.
Mohamed R. avait été arrêté le 23 mars en fin de matinée après avoir "mis en danger" des piétons en roulant à très vive allure, sans faire de blessés, sur le Meir, une des principales artères commerçantes de Belgique, située dans le centre de la métropole flamande.
Au lendemain des faits, il avait été inculpé "du chef de tentative d'assassinat à caractère terroriste, tentative de coups et blessures à
caractère terroriste et infraction à la législation sur les armes" et placé en détention provisoire.
Mais les autorités belges s'étaient montrées prudentes sur le caractère terroriste ou non des événements, survenus au lendemain de l'attaque commise à proximité du Parlement britannique à Londres, dont le bilan s'élève à cinq morts.
Les premières explications du suspect "n'avaient aucun sens", avait indiqué à l'AFP une source proche de l'enquête. Des chefs d'inculpation larges avaient été choisis par précaution par le juge d'instruction, selon une autre source.
Les services de sécurité s'étaient rapidement mobilisés après ces faits qui se sont déroulés au lendemain du premier anniversaire des attentats du métro et de l'aéroport de Bruxelles (32 morts le 22 mars 2016) et après deux attaques terroristes à Londres et à l'aéroport parisien d'Orly en moins d'une semaine.
Le suspect possède une adresse à Lens (nord de la France) et n'était connu jusque-là que pour des faits de petite délinquance, du type conduite en état d'ivresse ou usage de stupéfiants. Il n'était pas fiché S (sûreté de l'Etat) et n'était pas signalé comme radicalisé, avait indiqué à l'AFP une source policière française.
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