Pour la 7ème soirée de Jazz à Carthage, le public est venu en nombre et il y de quoi: deux maghrébines au programme. En première partie, l'Algérienne Djazia Satour en attendant la montée sur scène de Hindi Zahra. Et c'était une attente agréable puisqu'en une heure, Satour a subjugué le public. Jouant avec son tambourin sans peau, elle marie chant en anglais et en dialecte algérien et jeu, avec harmonie.
Avec des airs entre le blues ou la soul, Satour chante dans un hymne à la liberté, à la Palestine, au salut des réfugiés. Une heure d'une densité légère.
Hindi Zahra dévore la scène
Sous les vives applaudissements du public, la franco-marocaine Hindi Zahra apparait, vive dans sa robe rouge, tourbillonne sur scène avec délicatesse et en symbiose avec ses musiciens.
Enivrée par les rythmes, dansant, se mettant par terre parfois, l'artiste dévore la scène, de quoi secouer le public qui fredonne avec elle les paroles de célèbres chansons ou appuie par des applaudissements les rythmes d'une traversée entre reggae, musique traditionnelle gnaouie, folk portée par les tonalités des guitares, la percussion, la batterie et la trompette et fascinée par le timbre de sa voix. Un brassage réussi entre différents influences musicales et culturelles qui fait l'originalité de la chanteuse.
En près de deux heures, l'artiste, familière du public tunisien après son concert au festival international de Hammamet, a scellé encore plus ses liens avec lui par une prestation fidèle à sa brillante réputation.
Avec des airs entre le blues ou la soul, Satour chante dans un hymne à la liberté, à la Palestine, au salut des réfugiés. Une heure d'une densité légère.
Hindi Zahra dévore la scène
Sous les vives applaudissements du public, la franco-marocaine Hindi Zahra apparait, vive dans sa robe rouge, tourbillonne sur scène avec délicatesse et en symbiose avec ses musiciens.
Enivrée par les rythmes, dansant, se mettant par terre parfois, l'artiste dévore la scène, de quoi secouer le public qui fredonne avec elle les paroles de célèbres chansons ou appuie par des applaudissements les rythmes d'une traversée entre reggae, musique traditionnelle gnaouie, folk portée par les tonalités des guitares, la percussion, la batterie et la trompette et fascinée par le timbre de sa voix. Un brassage réussi entre différents influences musicales et culturelles qui fait l'originalité de la chanteuse.
En près de deux heures, l'artiste, familière du public tunisien après son concert au festival international de Hammamet, a scellé encore plus ses liens avec lui par une prestation fidèle à sa brillante réputation.
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