Achref Manai, élève en quatrième année secondaire au lycée du Sers, dans le gouvernorat du Kef, a mis son talent et ses aptitudes d'inventeur à exécution.
En recyclant des épaves de bois et des pièces électroniques et électriques, le jeune élève, qui prépare son baccalauréat technique cette année, a conçu un appareil de levage et une foreuse, dans le laboratoire de son lycée.
Ce laboratoire, c'est son havre de paix, où, malgré le modeste équipement, Achref trouve son bonheur.
Il passe la majorité de son temps à en fouiller les décombres et à en explorer le potentiel.
Réparer d'anciens appareils ou utiliser leurs bribes pour en créer d'autres, c'est son passe-temps favori. "Pas de Facebook, pas de smartphone ni d'internet pour lui" selon l'un de ses professeurs.
Dans le reportage ci-dessus, réalisé par la Chaîne Nationale et partagé sur la page du Ministère de l'éducation, Achref Manai déclare avoir besoin de plus de soutien et de plus de moyens, car sa passion "bouillonne" depuis tout petit, et même avec les petits moyens mis à sa disposition, et une situation non sans difficultés, il a pu persévérer et faire la fierté de ses professeurs.
"Cela fait environ 15 ans que je suis ici, je n'ai jamais vu autant de talent et de passion de la part d'un élève," assure l'un des professeurs. "Ceci dit, il faut qu'il soit bien encadré, tant au niveau régional que national, et ce afin de booster son talent."
Des inventions en tête? Achref en a, mais pour le moment, il préfère se concentrer sur ses études, sans pour autant délaisser sa passion, en attendant de décrocher son baccalauréat et de s'y mettre vivement.
En recyclant des épaves de bois et des pièces électroniques et électriques, le jeune élève, qui prépare son baccalauréat technique cette année, a conçu un appareil de levage et une foreuse, dans le laboratoire de son lycée.
Ce laboratoire, c'est son havre de paix, où, malgré le modeste équipement, Achref trouve son bonheur.
Il passe la majorité de son temps à en fouiller les décombres et à en explorer le potentiel.
Réparer d'anciens appareils ou utiliser leurs bribes pour en créer d'autres, c'est son passe-temps favori. "Pas de Facebook, pas de smartphone ni d'internet pour lui" selon l'un de ses professeurs.
Dans le reportage ci-dessus, réalisé par la Chaîne Nationale et partagé sur la page du Ministère de l'éducation, Achref Manai déclare avoir besoin de plus de soutien et de plus de moyens, car sa passion "bouillonne" depuis tout petit, et même avec les petits moyens mis à sa disposition, et une situation non sans difficultés, il a pu persévérer et faire la fierté de ses professeurs.
"Cela fait environ 15 ans que je suis ici, je n'ai jamais vu autant de talent et de passion de la part d'un élève," assure l'un des professeurs. "Ceci dit, il faut qu'il soit bien encadré, tant au niveau régional que national, et ce afin de booster son talent."
Des inventions en tête? Achref en a, mais pour le moment, il préfère se concentrer sur ses études, sans pour autant délaisser sa passion, en attendant de décrocher son baccalauréat et de s'y mettre vivement.
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