Le mini Orchestre des dix talentueux musiciens a émerveillé, ce samedi 08 Avril, le public de Jazz à Carthage avec sa musique lounge dansante. Pink Martini, le géant du spectacle inspiré du Hollywood des années 50, est chapoté depuis 1994 par le pianiste américain Thomas Lauderdale.
Initialement formé pour se produire dans des bals de charité, Pink Martini se fait connaitre mondialement grâce à un premier album "Sympathique", double disque d’or, et plus précisément la chanson qui porte le même nom (ou "Je ne veux pas travailler") dont les premières lignes sont du célèbre poète français du 20eme siècle Guillaume Apollinaire.
Pink Martini est, comme le dit son créateur, une aventure musicale autour du globe. Accompagné de la voix envoutante de Storm Large, de l’animateur Radio Ari Shapiro ou encore de Thomas Nishimoto, ils ont revisité les musiques du monde. De "Perhaps, perhaps, perhaps" de Doris Day, "Bint el Chalabiya" de Fairouz à "Zundoko Bushi" du groupe japonais the drifters, ils s’apprivoisent toutes les langues de l’Arabe au Japonais en passant par l’Arménien, le Français, l’Espagnol et même le Turc. Mais aussi des compositions propres au groupe telles que "Fil nessma di" "فالنسمة دي", dont les paroles ont été écrites par Iyadh Qasem, Egyptien d’origine palestinienne, qui parle de la souffrance des réfugiés et de leur mal du pays.
"C’est formidable que ce groupe dure encore après 23 ans de carrière. Nous reconnaissons la chance que nous avons de voyager à travers le monde et de représenter différentes facettes des Etats-Unis d’Amériques dans ce beau pays qu’est la Tunisie", confie Thomas au Huffpost Tunisie. Ari Shapiro, quant à lui, avoue avoir été reçu par la meilleure audience qu’il ait eue durant ses années avec Pink Martini. Et pour cause, le public du Jazz à Carthage n’a pas arrêté de se déhancher et chanter tout le long de la soirée.
Initialement formé pour se produire dans des bals de charité, Pink Martini se fait connaitre mondialement grâce à un premier album "Sympathique", double disque d’or, et plus précisément la chanson qui porte le même nom (ou "Je ne veux pas travailler") dont les premières lignes sont du célèbre poète français du 20eme siècle Guillaume Apollinaire.
Pink Martini est, comme le dit son créateur, une aventure musicale autour du globe. Accompagné de la voix envoutante de Storm Large, de l’animateur Radio Ari Shapiro ou encore de Thomas Nishimoto, ils ont revisité les musiques du monde. De "Perhaps, perhaps, perhaps" de Doris Day, "Bint el Chalabiya" de Fairouz à "Zundoko Bushi" du groupe japonais the drifters, ils s’apprivoisent toutes les langues de l’Arabe au Japonais en passant par l’Arménien, le Français, l’Espagnol et même le Turc. Mais aussi des compositions propres au groupe telles que "Fil nessma di" "فالنسمة دي", dont les paroles ont été écrites par Iyadh Qasem, Egyptien d’origine palestinienne, qui parle de la souffrance des réfugiés et de leur mal du pays.
"C’est formidable que ce groupe dure encore après 23 ans de carrière. Nous reconnaissons la chance que nous avons de voyager à travers le monde et de représenter différentes facettes des Etats-Unis d’Amériques dans ce beau pays qu’est la Tunisie", confie Thomas au Huffpost Tunisie. Ari Shapiro, quant à lui, avoue avoir été reçu par la meilleure audience qu’il ait eue durant ses années avec Pink Martini. Et pour cause, le public du Jazz à Carthage n’a pas arrêté de se déhancher et chanter tout le long de la soirée.
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