La présidente du Front national a passé la première étape. Marine Le Pen a en effet obtenu 21.7% des voix au premier tour de l'élection présidentielle, lui permettant d'accéder au second tour de la présidentielle, où elle affrontera Emmanuel Macron.
La candidate d'extrême droite signe un score historique dans l'histoire de sa formation politique, son père, Jean-Marie Le Pen, ayant obtenu 16,86 % des voix en 2002. Néanmoins, c'est également une forme de désaveu pour Marine Le Pen, qui a longtemps était annoncée en tête du premier tour et qui attendait un score plus élevé.
Pour autant, elle a tout de même salué un "résultat est historique". "Il n'a échappé à personne que le système a cherché à étouffer par tous les moyens à étouffer le grand débat de cette élection. Ce grand débat va avoir lieu", a-t-elle déclaré, fustigeant Emmanuel Macron, "l'héritier de François Hollande".
"Je lance un appel aux patriotes sincères à me rejoindre, à sortir des querelles périmées", a-t-elle déclaré, appelant à une "unité nationale" derrière sa candidature. "Quel qu'ait été leur vote au premier tour, nous les accueillerons fraternellement", a-t-elle insisté.
Un appel qui intervient alors que Emmanuel Macron accumule les soutiens, de la droite comme de la gauche, qui appellent sans ambiguïté à faire barrage au Front national.
La candidate d'extrême droite signe un score historique dans l'histoire de sa formation politique, son père, Jean-Marie Le Pen, ayant obtenu 16,86 % des voix en 2002. Néanmoins, c'est également une forme de désaveu pour Marine Le Pen, qui a longtemps était annoncée en tête du premier tour et qui attendait un score plus élevé.
Pour autant, elle a tout de même salué un "résultat est historique". "Il n'a échappé à personne que le système a cherché à étouffer par tous les moyens à étouffer le grand débat de cette élection. Ce grand débat va avoir lieu", a-t-elle déclaré, fustigeant Emmanuel Macron, "l'héritier de François Hollande".
"Je lance un appel aux patriotes sincères à me rejoindre, à sortir des querelles périmées", a-t-elle déclaré, appelant à une "unité nationale" derrière sa candidature. "Quel qu'ait été leur vote au premier tour, nous les accueillerons fraternellement", a-t-elle insisté.
Un appel qui intervient alors que Emmanuel Macron accumule les soutiens, de la droite comme de la gauche, qui appellent sans ambiguïté à faire barrage au Front national.