Connaissez-vous Bassem Khayati, cet acteur tunisien de films d'actions qu'on ne présente plus en Chine?
Originaire du Kef et ayant grandi à Ben Arous, Bassem s'est longtemps entrainé au Kung-Fu à El Médina El Jadida. Passionné, il décide de prendre le chemin de la Chine "pour continuer à étudier les différents arts martiaux". De là, il enchaîne avec la boxe Thai en Thaïlande, puis le Brazilian jiu-jitsu, puis le MMA: "J'ai appris tout ça avec des coachs professionnels, chacun reconnu dans sa discipline" affirme Bassem au HuffPost Tunisie.
"Je suis parti en Chine à la fin de l'année 2007 pour m'entraîner durant une année, puis j'ai décidé de vivre là-bas", raconte Bassem.
Évidemment, lorsqu'il cherche un premier emploi, une fois installé, c'est dans le domaine des arts martiaux: "J'ai enseigné les arts maritaux là-bas puis.." tout s'est accéléré.
Repéré par la chaîne Al Jazeera Sport en 2010 qui lui consacre une interview, il se voit proposer l'animation d'une émission sur le Kung Fu par la chaîne chinoise CCTV. De là, Bassem connait une certaine notoriété au pays de Mao où il ouvre également son premier club d'arts martiaux au début de l'année 2011.
Ce n'est qu'en 2012 que sa carrière d'acteur décolle. Après avoir entendu parler d'un casting à la recherche d'un cascadeur, Bassem s'y rend et obtient le rôle: "c'est ce jour là que je me suis décidé à ne me focaliser que sur le cinéma" raconte-t-il.
De là son expérience se transforme en succès et il tourne dans plus de 28 films dont 6 grosses productions. De doublure de Scott Adkins à Nicolas Cage qu'il remplace sur les scènes d'actions à un rôle aux côtés de Jackie Chan dans le film Dragon Blade, Bassem connait un succès fulgurant.
Mais il ne s'arrête pas en si bon chemin: De Bombing au côté de Bruce Willis à VIY2 avec Jackie Chan et Arnold Arnold Schwarzenegger, Bassem enchaîne les tournages entre production internationales et production chinoises et devient même "Action direction", celui qui gère le tournage et les créations lors des scènes d'actions : "J'ai eu la chance de jouer dans beaucoup de films aux côtés des plus grandes stars. Ce n'est pas évident d'avoir la chance de pouvoir travailler avec eux surtout qu'il y a une grande concurrence pour ces rôles" affirme Bassem avant d'ajouter: "Je me suis battu pour chaque rôle. A chaque fois, je donne le meilleur de moi".
Marié à une chinoise et heureux papa, Bassem a choisi la Chine pour une raison simple, l'amour des arts martiaux: "J'ai choisi de m'installer en Chine parce que dans mes films favoris on retrouve beaucoup de films chinois avec Bruce Lee, Jackie Chan ou Jet Li qui m'ont fait aimer les arts martiaux", affirme-t-il.
Loin de sa Tunisie natale et dans un pays aux us différents, il ne s'est pourtant pas senti dépaysé: "C'est toujours difficile pour un étranger de vivre ici, idem pour les Tunisiens. Mais je pense qu'il est plus facile pour les Tunisiens de communiquer avec les Chinois que pour d'autres personnes. C'est vrai que la première année est difficile mais après tout va bien", indique-t-il.
Si sa carrière a décollé en Chine, Bassem serait intéressé par des rôles en Tunisie: "Bien sur que je m'intéresse aux films et séries TV de mon pays. J'ai eu certaines touches mais on ne m'a pas encore donné ma chance", raconte-t-il avant de conclure: "Je suis d'ailleurs entrain de préparer le tournage d'un film en Tunisie".
Originaire du Kef et ayant grandi à Ben Arous, Bassem s'est longtemps entrainé au Kung-Fu à El Médina El Jadida. Passionné, il décide de prendre le chemin de la Chine "pour continuer à étudier les différents arts martiaux". De là, il enchaîne avec la boxe Thai en Thaïlande, puis le Brazilian jiu-jitsu, puis le MMA: "J'ai appris tout ça avec des coachs professionnels, chacun reconnu dans sa discipline" affirme Bassem au HuffPost Tunisie.
"Je suis parti en Chine à la fin de l'année 2007 pour m'entraîner durant une année, puis j'ai décidé de vivre là-bas", raconte Bassem.
Évidemment, lorsqu'il cherche un premier emploi, une fois installé, c'est dans le domaine des arts martiaux: "J'ai enseigné les arts maritaux là-bas puis.." tout s'est accéléré.
Repéré par la chaîne Al Jazeera Sport en 2010 qui lui consacre une interview, il se voit proposer l'animation d'une émission sur le Kung Fu par la chaîne chinoise CCTV. De là, Bassem connait une certaine notoriété au pays de Mao où il ouvre également son premier club d'arts martiaux au début de l'année 2011.
Ce n'est qu'en 2012 que sa carrière d'acteur décolle. Après avoir entendu parler d'un casting à la recherche d'un cascadeur, Bassem s'y rend et obtient le rôle: "c'est ce jour là que je me suis décidé à ne me focaliser que sur le cinéma" raconte-t-il.
De là son expérience se transforme en succès et il tourne dans plus de 28 films dont 6 grosses productions. De doublure de Scott Adkins à Nicolas Cage qu'il remplace sur les scènes d'actions à un rôle aux côtés de Jackie Chan dans le film Dragon Blade, Bassem connait un succès fulgurant.
Mais il ne s'arrête pas en si bon chemin: De Bombing au côté de Bruce Willis à VIY2 avec Jackie Chan et Arnold Arnold Schwarzenegger, Bassem enchaîne les tournages entre production internationales et production chinoises et devient même "Action direction", celui qui gère le tournage et les créations lors des scènes d'actions : "J'ai eu la chance de jouer dans beaucoup de films aux côtés des plus grandes stars. Ce n'est pas évident d'avoir la chance de pouvoir travailler avec eux surtout qu'il y a une grande concurrence pour ces rôles" affirme Bassem avant d'ajouter: "Je me suis battu pour chaque rôle. A chaque fois, je donne le meilleur de moi".
Marié à une chinoise et heureux papa, Bassem a choisi la Chine pour une raison simple, l'amour des arts martiaux: "J'ai choisi de m'installer en Chine parce que dans mes films favoris on retrouve beaucoup de films chinois avec Bruce Lee, Jackie Chan ou Jet Li qui m'ont fait aimer les arts martiaux", affirme-t-il.
Loin de sa Tunisie natale et dans un pays aux us différents, il ne s'est pourtant pas senti dépaysé: "C'est toujours difficile pour un étranger de vivre ici, idem pour les Tunisiens. Mais je pense qu'il est plus facile pour les Tunisiens de communiquer avec les Chinois que pour d'autres personnes. C'est vrai que la première année est difficile mais après tout va bien", indique-t-il.
Si sa carrière a décollé en Chine, Bassem serait intéressé par des rôles en Tunisie: "Bien sur que je m'intéresse aux films et séries TV de mon pays. J'ai eu certaines touches mais on ne m'a pas encore donné ma chance", raconte-t-il avant de conclure: "Je suis d'ailleurs entrain de préparer le tournage d'un film en Tunisie".
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