Et si la migration était une question artistique? Loin de la politique, le sujet est abordé à travers l'art, les débats culturels et les témoignages vivants.
Après 3 éditions, Jaou revient en 2017 dans un tout nouveau train. Cette année, l'événement, une initiative de la Fondation Lazaar, a pour thème "la nation migrante".
Tunis accueillera "Jaou" dans un parcours qui suit la ligne TGM, de Tunis à la Banlieue Nord. Rencontres-débats, interventions artistiques et visites de galeries sont au programme, avec une quarantaine d'artistes, de différentes disciplines et qui proposent des oeuvres explorant la migration.
Ces projets artistiques investissent des "espaces insolites disséminés entre la Goulette et le Kram". Le tour des galeries se fait entre la Goulette et la Marsa, d'autres projets se déroulent en marge de Jaou à Tunis.
Cette 4e édition de Jaou veut solliciter le point de vue des artistes sur ce sujet d'actualité qui touche l'humanité entière.
Qu'elle soit volontaire ou forcée, économique ou politique, du sud au nord ou du nord au sud, la migration a permis la survie de l'Homme et son évolution à travers les siècles. Pourquoi alors, dans une ère de globalisation, les frontières se ferment, les différences se dessinent et divisent les peuples?
Par les témoignages et les débats culturels. "Il rappelle que la Tunisie est une terre hospitalière qui a pendant longtemps accueilli tant d'émigrés: Maures, Italiens, Maltais, Russes"
Les nationalités se mélangent, les différentes croyances se côtoient et les cultures se frôlent, ce qui a permis à l'humain de se construire: "La migration nous interpelle sur notre rapport à soi et à l’Autre, mais aussi sur les notions de frontières, d’appartenance et d’identité".
Après 3 éditions, Jaou revient en 2017 dans un tout nouveau train. Cette année, l'événement, une initiative de la Fondation Lazaar, a pour thème "la nation migrante".
Tunis accueillera "Jaou" dans un parcours qui suit la ligne TGM, de Tunis à la Banlieue Nord. Rencontres-débats, interventions artistiques et visites de galeries sont au programme, avec une quarantaine d'artistes, de différentes disciplines et qui proposent des oeuvres explorant la migration.
Ces projets artistiques investissent des "espaces insolites disséminés entre la Goulette et le Kram". Le tour des galeries se fait entre la Goulette et la Marsa, d'autres projets se déroulent en marge de Jaou à Tunis.
Cette 4e édition de Jaou veut solliciter le point de vue des artistes sur ce sujet d'actualité qui touche l'humanité entière.
Qu'elle soit volontaire ou forcée, économique ou politique, du sud au nord ou du nord au sud, la migration a permis la survie de l'Homme et son évolution à travers les siècles. Pourquoi alors, dans une ère de globalisation, les frontières se ferment, les différences se dessinent et divisent les peuples?
Par les témoignages et les débats culturels. "Il rappelle que la Tunisie est une terre hospitalière qui a pendant longtemps accueilli tant d'émigrés: Maures, Italiens, Maltais, Russes"
Les nationalités se mélangent, les différentes croyances se côtoient et les cultures se frôlent, ce qui a permis à l'humain de se construire: "La migration nous interpelle sur notre rapport à soi et à l’Autre, mais aussi sur les notions de frontières, d’appartenance et d’identité".
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