Revêtue de lumières et de couleurs, la porte espagnole de la Goulette a été joliment décorée donnant un nouveau charme à la ville. C'est dans le cadre de l'événement Jaou que les trois artistes Houda Ghorbel, Wadi Mhiri et Niklas Grun ont décidé de transformer ce monument historique en oeuvre d'art éphémère.
A travers cette oeuvre intitulée "cercle vicieux", les artistes ont voulu rendre hommage à ceux qui ont perdu la vie en mer ou sur terre en poursuivant un rêve.
Revenant sur le choix de ce lieu, Wadi Mhiri explique que "c'était un coup de foudre". Il a indiqué que Houda Ghorbel est tombée tout de suite sous le charme des lieux lors du repérage.
Interrogé par le HuffPost Tunisie, Wadi Mhiri est revenu sur sa participation à Jaou. "Le thème de cette année est très intéressant", a-t-il indiqué en précisant que le fait d'exposer son oeuvre à la Goulette représente une opportunité importante. "On n'a pas toujours la possibilité de travailler dans un espace public. En plus de l'importance capitale que procure une telle exposition dans notre démarche artistique", a-t-il noté.
Cette installation qui se poursuivra jusqu'à la clôture de l'événement soit ce 16 mai 2017 a été réalisée avec la collaboration du Goethe-Institut et avec l'aide des étudiants des écoles de l'architecture et des beaux arts de Tunis.
Après 3 éditions, Jaou revient en 2017 sous le thème "la nation migrante". Rencontres-débats, interventions artistiques et visites de galeries sont au programme, avec une quarantaine d'artistes de différentes disciplines et qui proposent des oeuvres explorant la migration. Cette 4e édition de Jaou, tenue du 12 au 16 mai veut solliciter le point de vue des artistes sur ce sujet d'actualité qui touche l'humanité entière.
A travers cette oeuvre intitulée "cercle vicieux", les artistes ont voulu rendre hommage à ceux qui ont perdu la vie en mer ou sur terre en poursuivant un rêve.
Revenant sur le choix de ce lieu, Wadi Mhiri explique que "c'était un coup de foudre". Il a indiqué que Houda Ghorbel est tombée tout de suite sous le charme des lieux lors du repérage.
Interrogé par le HuffPost Tunisie, Wadi Mhiri est revenu sur sa participation à Jaou. "Le thème de cette année est très intéressant", a-t-il indiqué en précisant que le fait d'exposer son oeuvre à la Goulette représente une opportunité importante. "On n'a pas toujours la possibilité de travailler dans un espace public. En plus de l'importance capitale que procure une telle exposition dans notre démarche artistique", a-t-il noté.
Cette installation qui se poursuivra jusqu'à la clôture de l'événement soit ce 16 mai 2017 a été réalisée avec la collaboration du Goethe-Institut et avec l'aide des étudiants des écoles de l'architecture et des beaux arts de Tunis.
Après 3 éditions, Jaou revient en 2017 sous le thème "la nation migrante". Rencontres-débats, interventions artistiques et visites de galeries sont au programme, avec une quarantaine d'artistes de différentes disciplines et qui proposent des oeuvres explorant la migration. Cette 4e édition de Jaou, tenue du 12 au 16 mai veut solliciter le point de vue des artistes sur ce sujet d'actualité qui touche l'humanité entière.
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