A la suite de la vague d'arrestations en Tunisie de potentiels gros bonnets de la contrebande et de la mafia, la réaction des partis politiques tunisiens était "timide". C'est Afek Tounes qui a réagi en premier en publiant ce mercredi 24 mai 2017 un communiqué dans lequel il affiche son soutien au gouvernement Chahed et applaudit sa détermination de vouloir combattre la corruption. Il considère, en effet, ces arrestations comme les prémices d’une "guerre" contre la corruption et le terrorisme, "vu que la corruption est étroitement liée au terrorisme".
Le parti a appelé, par ailleurs, le gouvernement à multiplier son énergie et ses moyens pour avancer dans cette guerre difficile, afin de protéger le pays ce fléau qui a commencé à menacer l’État et son existence.
De son côté, le parti Al Joumhouri a également exprimé sa satisfaction et son soutien envers le gouvernement Chahed. Il a salué, dans son communiqué, la décision courageuse de Chahed en soulignant la nécessité d'unifier les efforts des différentes parties afin d'anéantir ce réseau mafieux.
Al Massar a estimé que cette décision est une étape positive dans la lutte contre la corruption, une des principales priorités fixées par l'Accord de Carthage. Il a mis l'accent sur la nécessité de faire de cette action un plan stratégique viable pour la lutte contre la la contrebande et la corruption, qui ne cesse de tailler dans l'économie du pays et alimenter les réseaux terroristes.
Machrou Tounes soutient la décision de Youssef Chahed et souligne la nécessité d'accorder une trêve politique jusqu'à la finalisation des actions du gouvernement dans sa lutte contre la corruption.
D'après Mosaique Fm, le bureau exécutif du Mouvement Ennahdha se réunira aujourd'hui pour discuter des dernières arrestations effectuées sur ordre de Youssef Chahed et qui ont touché plusieurs hommes d'affaires et contrebandiers.
Joint, mercredi, par l’agence Tunis Afrique Presse, le porte-parole du mouvement Ennahdha Imed Khemiri a ajouté que la réunion, mardi, du groupe parlementaire d’Ennahdha, sous la présidence de Rached Ghannouchi, président du parti, "n’a pas évoqué cette question, et ce dans l’attente d’informations supplémentaires et de définir une prise de position à cet effet". D’après lui, la réunion de mardi a été consacrée à la situation générale dans le pays et, en particulier, aux évènements de Tataouine, surtout après la mort d’un citoyen et les atteintes aux biens publics.
Quant à Nidaa Tounes, il a publié un communiqué en fin de journée soutenant l'initiative du chef du gouvernement. Le parti affirme également soutenir les grandes réformes qui devront être prises en Tunisie indiquant préparer un projet de loi concernant l'organisation et la transparence dans la vie publique.
Depuis mardi, le coup de filet contre plusieurs hommes d'affaires soupçonnés de corruption continue. Après Chafik Jarraya, Yassine Channoufi, Ridha Ayari et Nejib Ben Ismaïl, l'homme d'affaires Kheireddine Meddeb aurait été arrêté affirment plusieurs médias.
Le parti a appelé, par ailleurs, le gouvernement à multiplier son énergie et ses moyens pour avancer dans cette guerre difficile, afin de protéger le pays ce fléau qui a commencé à menacer l’État et son existence.
De son côté, le parti Al Joumhouri a également exprimé sa satisfaction et son soutien envers le gouvernement Chahed. Il a salué, dans son communiqué, la décision courageuse de Chahed en soulignant la nécessité d'unifier les efforts des différentes parties afin d'anéantir ce réseau mafieux.
Al Massar a estimé que cette décision est une étape positive dans la lutte contre la corruption, une des principales priorités fixées par l'Accord de Carthage. Il a mis l'accent sur la nécessité de faire de cette action un plan stratégique viable pour la lutte contre la la contrebande et la corruption, qui ne cesse de tailler dans l'économie du pays et alimenter les réseaux terroristes.
Machrou Tounes soutient la décision de Youssef Chahed et souligne la nécessité d'accorder une trêve politique jusqu'à la finalisation des actions du gouvernement dans sa lutte contre la corruption.
D'après Mosaique Fm, le bureau exécutif du Mouvement Ennahdha se réunira aujourd'hui pour discuter des dernières arrestations effectuées sur ordre de Youssef Chahed et qui ont touché plusieurs hommes d'affaires et contrebandiers.
Joint, mercredi, par l’agence Tunis Afrique Presse, le porte-parole du mouvement Ennahdha Imed Khemiri a ajouté que la réunion, mardi, du groupe parlementaire d’Ennahdha, sous la présidence de Rached Ghannouchi, président du parti, "n’a pas évoqué cette question, et ce dans l’attente d’informations supplémentaires et de définir une prise de position à cet effet". D’après lui, la réunion de mardi a été consacrée à la situation générale dans le pays et, en particulier, aux évènements de Tataouine, surtout après la mort d’un citoyen et les atteintes aux biens publics.
Quant à Nidaa Tounes, il a publié un communiqué en fin de journée soutenant l'initiative du chef du gouvernement. Le parti affirme également soutenir les grandes réformes qui devront être prises en Tunisie indiquant préparer un projet de loi concernant l'organisation et la transparence dans la vie publique.
Depuis mardi, le coup de filet contre plusieurs hommes d'affaires soupçonnés de corruption continue. Après Chafik Jarraya, Yassine Channoufi, Ridha Ayari et Nejib Ben Ismaïl, l'homme d'affaires Kheireddine Meddeb aurait été arrêté affirment plusieurs médias.
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