L’espace culturel de l’Étoile de la médina, à Tunis, accueille actuellement l’exposition "Exclusion en Tunisie: Images d’une répression invisible", réalisée dans le cadre du projet photo du Centre international pour la justice transitionnelle (ICTJ).
Cette exposition inédite regroupe les travaux de quatre jeunes photographes tunisiens, Emna Fetni, Ali Jabeur, Ashraf Gharbi et Nedra Jouini.
Un projet initié dans le but d’encourager la jeunesse tunisienne à faire face à l’exclusion et à prendre conscience de son impact de manière créative.
"En étant confrontés à l’héritage répressif de notre pays, nous pouvons observer la façon dont ses conséquences perdurent aujourd’hui, à travers de profondes inégalités économiques et sociales"*, rapporte Salma Al Gantri, responsable du bureau de l’ICTJ en Tunisie.
"La jeunesse reste la communauté la plus marginalisée du pays, nous espérions l’inclure dans le débat à travers ce projet" ajoute-t-elle.
Des séances de formation et des ateliers de sensibilisation, proposés par l’ICTJ, ont ainsi contribué à aider les jeunes participants à capturer les récits visuels de l’exclusion sociale et économique, faisant le rapprochement entre les exclusions d’hier et d’aujourd’hui.
Chacun des quatre finalistes a eu l’occasion de participer à des cours avancés de photographie et à des ateliers de sensibilisation autour des défis de l’exclusion.
Les différents points de vue qui transparaissent dans ces clichés, reflètent l’exclusion dont ont pu souffrir les Tunisiens depuis la révolution et qui continuent aujourd’hui de perdurer sévèrement dans le pays.
Une distribution inégale des ressources et de l’accès aux services publics a conduit à une généralisation du chômage ou encore à de fréquents emprisonnements pour des faits mineurs. Un constat particulièrement avéré dans les régions au développement économique faible, de l’intérieur et du Sud.
L’exposition aborde ainsi ces difficultés auxquelles la jeunesse tunisienne reste aujourd’hui confrontée.
*propos traduits de l’anglais par le HuffPost Tunisie
Cette exposition inédite regroupe les travaux de quatre jeunes photographes tunisiens, Emna Fetni, Ali Jabeur, Ashraf Gharbi et Nedra Jouini.
Un projet initié dans le but d’encourager la jeunesse tunisienne à faire face à l’exclusion et à prendre conscience de son impact de manière créative.
"En étant confrontés à l’héritage répressif de notre pays, nous pouvons observer la façon dont ses conséquences perdurent aujourd’hui, à travers de profondes inégalités économiques et sociales"*, rapporte Salma Al Gantri, responsable du bureau de l’ICTJ en Tunisie.
"La jeunesse reste la communauté la plus marginalisée du pays, nous espérions l’inclure dans le débat à travers ce projet" ajoute-t-elle.
Des séances de formation et des ateliers de sensibilisation, proposés par l’ICTJ, ont ainsi contribué à aider les jeunes participants à capturer les récits visuels de l’exclusion sociale et économique, faisant le rapprochement entre les exclusions d’hier et d’aujourd’hui.
Chacun des quatre finalistes a eu l’occasion de participer à des cours avancés de photographie et à des ateliers de sensibilisation autour des défis de l’exclusion.
Les différents points de vue qui transparaissent dans ces clichés, reflètent l’exclusion dont ont pu souffrir les Tunisiens depuis la révolution et qui continuent aujourd’hui de perdurer sévèrement dans le pays.
Une distribution inégale des ressources et de l’accès aux services publics a conduit à une généralisation du chômage ou encore à de fréquents emprisonnements pour des faits mineurs. Un constat particulièrement avéré dans les régions au développement économique faible, de l’intérieur et du Sud.
L’exposition aborde ainsi ces difficultés auxquelles la jeunesse tunisienne reste aujourd’hui confrontée.
*propos traduits de l’anglais par le HuffPost Tunisie
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