Les partis à la coalition ont-ils lâchés Habib Essid?
Cela semblerait être le cas selon les différentes déclarations des acteurs de ces parties accordés à différents médias.
Selon la radio Mosaïque FM, suite à une réunion des partis de la coalition au pouvoir, ces derniers ont décidé de retirer leur confiance au chef du gouvernement le sommant de présenter sa démission.
S'exprimant sur cette même radio, le dirigeant au sein de Nidaa Tounes Abdelaziz El Kotti a affirmé que "nous en tant que partis politiques et surtout en tant que coalition au pouvoir, principal appui au gouvernement, et principalement Nidaa Tounes, avons exprimé le souhait de changer le premier responsable, à savoir le chef du gouvernement, ce qui a été bien accueilli par les représentant des autres partis à la coalition" a t-il indiqué.
"Nous nous sommes mis d'accord afin d'informer M. Essid que la coalition au pouvoir lui retire sa confiance" a indiqué El Kotti avant d'ajouter avoir "demandé une réunion de l'ensemble de la coalition au pouvoir avec Habib Essid afin de lui demander de ne pas aggraver encore plus la situation".
De son côté, le président de l'Union Patriotique Slim Riahi a affirmé les propos d'Abdelaziz El Kotti déclarant "ne pas avoir de problèmes avec la personne" de Habib Essid mais "avec la situation la crise que traverse le pays".
Selon Slim Riahi, cette demande faite à Habib Essid de démissionner est dans le but d'éviter "une crise à venir si jamais un nouveau vote de confiance ou de défiance devait avoir lieu".
Rétorquant à une question d'une journaliste sur le possible maintien de Habib Essid à la tête d'un nouveau gouvernement d'Union Nationale, Slim Riahi a indiqué que "dans le monde entier (...) quand un gouvernement change, son chef change aussi".
Habib Essid, une alternative en tête?
Enchainant les réunions avec les représentants des partis, plusieurs médias ont avancé que Habib Essid préparerait une alternative à l'idée lancée par le président de la République Béji Caid Essebsi de former un gouvernement d'Union Nationale, ce qu'a formellement nié la présidence du gouvernement.
Dans un communiqué publié sur sa page Facebook, la présidence du gouvernement affirme que "contrairement à ce qui a été relayé, les rencontres de Habib Essid avec des représentants des partis politiques s'inscrivent dans un cadre d'interaction avec l'initiative du président de la République de former un gouvernement d'Union Nationale".
Cela semblerait être le cas selon les différentes déclarations des acteurs de ces parties accordés à différents médias.
Selon la radio Mosaïque FM, suite à une réunion des partis de la coalition au pouvoir, ces derniers ont décidé de retirer leur confiance au chef du gouvernement le sommant de présenter sa démission.
S'exprimant sur cette même radio, le dirigeant au sein de Nidaa Tounes Abdelaziz El Kotti a affirmé que "nous en tant que partis politiques et surtout en tant que coalition au pouvoir, principal appui au gouvernement, et principalement Nidaa Tounes, avons exprimé le souhait de changer le premier responsable, à savoir le chef du gouvernement, ce qui a été bien accueilli par les représentant des autres partis à la coalition" a t-il indiqué.
"Nous nous sommes mis d'accord afin d'informer M. Essid que la coalition au pouvoir lui retire sa confiance" a indiqué El Kotti avant d'ajouter avoir "demandé une réunion de l'ensemble de la coalition au pouvoir avec Habib Essid afin de lui demander de ne pas aggraver encore plus la situation".
De son côté, le président de l'Union Patriotique Slim Riahi a affirmé les propos d'Abdelaziz El Kotti déclarant "ne pas avoir de problèmes avec la personne" de Habib Essid mais "avec la situation la crise que traverse le pays".
Selon Slim Riahi, cette demande faite à Habib Essid de démissionner est dans le but d'éviter "une crise à venir si jamais un nouveau vote de confiance ou de défiance devait avoir lieu".
Rétorquant à une question d'une journaliste sur le possible maintien de Habib Essid à la tête d'un nouveau gouvernement d'Union Nationale, Slim Riahi a indiqué que "dans le monde entier (...) quand un gouvernement change, son chef change aussi".
Habib Essid, une alternative en tête?
Enchainant les réunions avec les représentants des partis, plusieurs médias ont avancé que Habib Essid préparerait une alternative à l'idée lancée par le président de la République Béji Caid Essebsi de former un gouvernement d'Union Nationale, ce qu'a formellement nié la présidence du gouvernement.
Dans un communiqué publié sur sa page Facebook, la présidence du gouvernement affirme que "contrairement à ce qui a été relayé, les rencontres de Habib Essid avec des représentants des partis politiques s'inscrivent dans un cadre d'interaction avec l'initiative du président de la République de former un gouvernement d'Union Nationale".
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