L’avant-veille de la tenue du procès de l’assassinat de Chokri Belaïd, les dirigeants du Front populaire ont organisé une conférence de presse où ils sont revenus sur les lenteurs dans le déroulement de l’enquête.
Estimant qu’Ennahdha est pour beaucoup dans ces blocages, les leaders de la gauche tunisienne ont menacé de recourir aux instances internationales afin qu’elles suivent de près le dossier pour arriver aux mêmes constats.
Ces accusations sont survenues suite au report de la séance d’audition des ministres de l’Intérieur et de la Justice par les députés de l’Assemblée des représentants du peuple. Un report qui a été exigé par les députés d’Ennahdha.
Zied Lakhdar, élu du Front populaire au Parlement, a estimé que cette manœuvre démontre qu’Ennahdha a effectivement participé dans l’empêchement de la révélation de la vérité sur les assassinats de Chokri Belaïd et de Mohamed Brahmi.
Répondant à ces accusations, le président du bloc parlementaire d’Ennahdha et ancien ministre de la Justice, Noureddine Bhiri, a indiqué que quelques dirigeants du Front populaire – qui sont connus, toujours selon lui, pour leur opposition rigide contre le mouvement islamiste – s’obstinent à attaquer le mouvement ce qui ne rend service à personne.
Bhiri a indiqué à ces mêmes dirigeants que "ce genre de positions qui leur a déjà nuit dans le passé ne leur avancera en rien".
Le coup d’envoi du procès, qui s’est déroulé aujourd’hui même, a été marqué par la présence des militants du Front populaire qui sont venus, à la demande des dirigeants, exprimer leur colère quant au rythme et aux multiples dépassements survenus dans le dossier.
Jusqu’à l’heure où ces lignes sont écrites, aucune information, concernant le procès en question, n’a été révélée aux médias.
Estimant qu’Ennahdha est pour beaucoup dans ces blocages, les leaders de la gauche tunisienne ont menacé de recourir aux instances internationales afin qu’elles suivent de près le dossier pour arriver aux mêmes constats.
Ces accusations sont survenues suite au report de la séance d’audition des ministres de l’Intérieur et de la Justice par les députés de l’Assemblée des représentants du peuple. Un report qui a été exigé par les députés d’Ennahdha.
Zied Lakhdar, élu du Front populaire au Parlement, a estimé que cette manœuvre démontre qu’Ennahdha a effectivement participé dans l’empêchement de la révélation de la vérité sur les assassinats de Chokri Belaïd et de Mohamed Brahmi.
Répondant à ces accusations, le président du bloc parlementaire d’Ennahdha et ancien ministre de la Justice, Noureddine Bhiri, a indiqué que quelques dirigeants du Front populaire – qui sont connus, toujours selon lui, pour leur opposition rigide contre le mouvement islamiste – s’obstinent à attaquer le mouvement ce qui ne rend service à personne.
Bhiri a indiqué à ces mêmes dirigeants que "ce genre de positions qui leur a déjà nuit dans le passé ne leur avancera en rien".
Le coup d’envoi du procès, qui s’est déroulé aujourd’hui même, a été marqué par la présence des militants du Front populaire qui sont venus, à la demande des dirigeants, exprimer leur colère quant au rythme et aux multiples dépassements survenus dans le dossier.
Jusqu’à l’heure où ces lignes sont écrites, aucune information, concernant le procès en question, n’a été révélée aux médias.
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