JUSTICE TRANSITIONNELLE- Lors d'une conférence de presse organisée le 17 juin, l'Instance Vérité et Dignité a dévoilé le nombre final des dossiers déposés. 65 mille dossiers ont été déposés au total, dont 5 mille lors de la dernière date butoir d'acceptation des dossiers (le 15 juin), a révélé Sihem Ben Sedrine, présidente de l'IVD.
Parmi les 65 mille, 1515 mille ont été déposés via internet par des Tunisiens à l'étranger ou d'autres qui ne pouvaient pas se déplacer et 13 300 mille concernent les femmes: "Un chiffre très respectueux pour nous qui accordons une importance majeure à la question du genre dans ces affaires", a lancé la présidente de l'IVD.
Ella a par ailleurs cité quelques organisations nationales qui ont déposé un dossier, parmi eux, l'Union Générale des travailleurs tunisiens ( UGTT) pour la période de 1965 à 2013, la Ligue tunisienne des Droits de l'Homme et les familles des martyrs et blessés de la révolution.
Ben Sedrine a insisté sur le fait que l'IVD "fait l'objet d'un consensus national".
"Tout le monde a une totale confiance dans le processus de la justice transitionnelle et nous tacherons d'être dignes de cette confiance", a-t-elle martelé.
Un consensus qui n'englobe pas certains Tunisiens, septiques quant à la capacité de ladite instance à assurer le processus de justice transitionnelle, les uns mettent en cause la crédibilité de Sihem Ben Sedrine, les autres pointent de doigt la structure même de l'IVD et sa légitimité pour assurer un tel rôle.
LIRE AUSSI: Tunisie: L'Instance Vérité et Dignité en quelques chiffres après la publication de son rapport annuel
Parmi les 65 mille, 1515 mille ont été déposés via internet par des Tunisiens à l'étranger ou d'autres qui ne pouvaient pas se déplacer et 13 300 mille concernent les femmes: "Un chiffre très respectueux pour nous qui accordons une importance majeure à la question du genre dans ces affaires", a lancé la présidente de l'IVD.
Ella a par ailleurs cité quelques organisations nationales qui ont déposé un dossier, parmi eux, l'Union Générale des travailleurs tunisiens ( UGTT) pour la période de 1965 à 2013, la Ligue tunisienne des Droits de l'Homme et les familles des martyrs et blessés de la révolution.
Ben Sedrine a insisté sur le fait que l'IVD "fait l'objet d'un consensus national".
"Tout le monde a une totale confiance dans le processus de la justice transitionnelle et nous tacherons d'être dignes de cette confiance", a-t-elle martelé.
Un consensus qui n'englobe pas certains Tunisiens, septiques quant à la capacité de ladite instance à assurer le processus de justice transitionnelle, les uns mettent en cause la crédibilité de Sihem Ben Sedrine, les autres pointent de doigt la structure même de l'IVD et sa légitimité pour assurer un tel rôle.
Retrouvez les articles du HuffPost Tunisie sur notre page Facebook.