CULTURE- A 56 ans, Cheb Khaled semble avoir encore beaucoup à donner. Fidèle à ses habitudes, il fait le show, comme une rock star. Grimaces, onomatopées et sourires généreux, Khaled n’a pas changé pour son public.
"Quelle soirée! Quel spectacle! Magnifique Khaled, cela fait longtemps que je ne me suis pas autant amusée", affirme Cyrine, 22 ans.
Il est 23h30 quand le silence envahit le théâtre. Extinction des lumières, interruption du silence par quelques rires et quelques quintes de toux, la star, se repose deux minutes et le show reprend avec "C’est la vie" qui enflamme la scène et les gradins.
Tout le monde – ou presque- chantait et dansait (même les agents de sécurité), emporté par le show envoûtant et la magnifique ville du Cap Bon qu’est Hammamet.
Khaled, n’a pas hésité à chanter "Didi" qui date de 1992, après avoir remporté la bataille judiciaire qui l’a opposé durant des années à son compatriote Rabbah Zerradine, l’accusant de lui avoir "volé" la chanson.
Interrogés sur le prix des billets, des jeunes confient à la rédaction du Huffpost Tunisie qu’au début, il avaient jugé les prix "un peu cher".
"C’est vrai que 60 dinars ce n’est pas donné, mais je n’ai pas regretté d’être venue, ça valait le coup" explique Asma, 19 ans.
Il faut dire que le concert a attiré des spectateurs de différentes tranches d’âges et de plusieurs nationalités: des jeunes, des enfants, Tunisiens, Algériens et étrangers téléportés, le temps d’une soirée, au beau milieu des années 90.
Pour garantir la sécurité, un important dispositif policier a été mis en place, pas de dépassements enregistrés. La soirée s’est déroulée dans une bonne ambiance.
Jasmin à la main et au cou, Khaled n'a cessé remercier son public entre les chansons. Il n’hésitait pas non plus à aller vers les spectateurs assis au premier rang pour saisir leurs "machmoums" et leur serrer la main.
"Quelle soirée! Quel spectacle! Magnifique Khaled, cela fait longtemps que je ne me suis pas autant amusée", affirme Cyrine, 22 ans.
Théâtre archicomble, de loin apparaissaient seulement des silhouettes se déhanchant sur des sonorités raï. De plus près, un public en effervescence, chantait en chœur, les classiques: "Bakhta", "Wahrane" ou "Yamina" en prenant quelques pauses pour applaudir l’un des pionniers du raï algérien.
Il est 23h30 quand le silence envahit le théâtre. Extinction des lumières, interruption du silence par quelques rires et quelques quintes de toux, la star, se repose deux minutes et le show reprend avec "C’est la vie" qui enflamme la scène et les gradins.
Tout le monde – ou presque- chantait et dansait (même les agents de sécurité), emporté par le show envoûtant et la magnifique ville du Cap Bon qu’est Hammamet.
Khaled, n’a pas hésité à chanter "Didi" qui date de 1992, après avoir remporté la bataille judiciaire qui l’a opposé durant des années à son compatriote Rabbah Zerradine, l’accusant de lui avoir "volé" la chanson.
Interrogés sur le prix des billets, des jeunes confient à la rédaction du Huffpost Tunisie qu’au début, il avaient jugé les prix "un peu cher".
"C’est vrai que 60 dinars ce n’est pas donné, mais je n’ai pas regretté d’être venue, ça valait le coup" explique Asma, 19 ans.
Il faut dire que le concert a attiré des spectateurs de différentes tranches d’âges et de plusieurs nationalités: des jeunes, des enfants, Tunisiens, Algériens et étrangers téléportés, le temps d’une soirée, au beau milieu des années 90.
Pour garantir la sécurité, un important dispositif policier a été mis en place, pas de dépassements enregistrés. La soirée s’est déroulée dans une bonne ambiance.
Jasmin à la main et au cou, Khaled n'a cessé remercier son public entre les chansons. Il n’hésitait pas non plus à aller vers les spectateurs assis au premier rang pour saisir leurs "machmoums" et leur serrer la main.
Retrouvez les articles du HuffPost Tunisie sur notre page Facebook.