Rim Thairi, présidente du bureau politique du courant Al Mahabba, a exprimé “l’indignation” de son parti “pour avoir été sciemment exclu” des concertations pour la formation d’un gouvernement d’union nationale, affirmant que le parti propose de former un gouvernement composé de compétences nationales et de personnalités politiques, qu’il applique le programme politique du courant Al Mahabba et que son leader Hachemi Hamedi soit désigné à sa tête.
“Notre parti est opposé catégoriquement au projet de loi sur la réconciliation économique et financière étant donné qu’il constitue une violation flagrante du processus de la justice transitionnelle et des principes de la constitution, après avoir contribué à rejeter l’inclusion de ce projet au budget de l’Etat en 2016”, a d’autre part souligné Rim Thairi lors d’une conférence de presse tenue vendredi à Tunis.
Elle a invité à cet égard les partis de l’opposition à former un front uni pour s’opposer au projet et “empêcher le quatuor de la coalition au pouvoir d’atteindre son but de blanchir la corruption”, selon ses dires.
“Notre parti n’est pas contre la réconciliation mais propose de recourir en premier lieu aux mécanismes de la justice transitionnelle qui consiste à rendre des comptes, dévoiler la vérité et dédommager les victimes avant la réconciliation”, a-t-elle indiqué.
La responsable du parti Al Mahabba a accusé par ailleurs le président de la république “de contourner la constitution pour consolider son influence et ses prérogatives”, affirmant que “des personnalités politiques influentes au palais de Carthage exercent des pressions sur le chef du gouvernement Habib Essid”.
Le parti du courant Al Mahabba a programmé dans les prochains jours des manifestations à Sfax pour rejeter le projet de loi sur la réconciliation économique et financière et demander de faire la lumière sur les dossiers de corruption.
“Notre parti est opposé catégoriquement au projet de loi sur la réconciliation économique et financière étant donné qu’il constitue une violation flagrante du processus de la justice transitionnelle et des principes de la constitution, après avoir contribué à rejeter l’inclusion de ce projet au budget de l’Etat en 2016”, a d’autre part souligné Rim Thairi lors d’une conférence de presse tenue vendredi à Tunis.
Elle a invité à cet égard les partis de l’opposition à former un front uni pour s’opposer au projet et “empêcher le quatuor de la coalition au pouvoir d’atteindre son but de blanchir la corruption”, selon ses dires.
“Notre parti n’est pas contre la réconciliation mais propose de recourir en premier lieu aux mécanismes de la justice transitionnelle qui consiste à rendre des comptes, dévoiler la vérité et dédommager les victimes avant la réconciliation”, a-t-elle indiqué.
La responsable du parti Al Mahabba a accusé par ailleurs le président de la république “de contourner la constitution pour consolider son influence et ses prérogatives”, affirmant que “des personnalités politiques influentes au palais de Carthage exercent des pressions sur le chef du gouvernement Habib Essid”.
Le parti du courant Al Mahabba a programmé dans les prochains jours des manifestations à Sfax pour rejeter le projet de loi sur la réconciliation économique et financière et demander de faire la lumière sur les dossiers de corruption.
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