Le ministère public a été informé du décès d’un détenu dans la prison de Mornag, au sud de Tunis, “pour qu’il décide des procédures à prendre”, annonce la Direction Générale de l’administration pénitentiaire et de la réhabilitation dans un communiqué rendu public lundi.
La Direction informe automatiquement le ministère public en cas de décès d’un détenu pour prendre les mesures nécessaires, dont l’autopsie afin de déterminer les causes du décès.
Une copie du dossier médical de la personne décédée, les rapports médicaux ont été envoyés au ministère public qui peut auditionner des fonctionnaires, les membres du cadre médical et paramédical affectés à la prison, précise-t-on de même source.
“Le détenu décédé était suivi médicalement depuis son entrée à la prison le 4 décembre 2015 et a fait l’objet de contrôle médical à 10 reprises pour des maladies courantes et a été dirigé vers des services hospitaliers public à chaque fois qu’il était nécessaire”, a précisé le Direction.
Celle-ci n’a pas indiqué le nom et la date du décès du détenu, mais a énuméré les dates des contrôles médicaux dont il a fait l’objet depuis le 5 août, date à laquelle un médecin de la prison s’est rendu compte d’une possible pathologie interne du prisonnier avant de l’orienter vers un établissement hospitalier public.
La Direction Générale de l’administration pénitentiaire et de la réhabilitation a précisé que la direction de la prison “n’a pas interdit à toute personne ayant des documents légaux de visiter le détenu et n’a pas reçu de demande de visite ou de rencontre avec des responsables de la prison depuis le 20 juillet dernier, date de la dernière visite de sa mère et sa sœur”.
De son côté, l’observatoire des droits et des libertés avait fait état sur sa page officielle dimanche de la “mort suspecte” samedi d’un détenu de la prison de Mornag.
Publiant la photo d’une dépouille portant des traces de blessures au niveau de la tête et du genou, il a demandé “l’ouverture d’une enquête sérieuse pour connaître la vérité sur la mort du détenu”.
L’observatoire rapporte le témoignage de la famille du défunt selon lequel elle n’a pas été informée d’une détérioration de la santé de leur fils avant la date de son décès.
La Direction informe automatiquement le ministère public en cas de décès d’un détenu pour prendre les mesures nécessaires, dont l’autopsie afin de déterminer les causes du décès.
Une copie du dossier médical de la personne décédée, les rapports médicaux ont été envoyés au ministère public qui peut auditionner des fonctionnaires, les membres du cadre médical et paramédical affectés à la prison, précise-t-on de même source.
“Le détenu décédé était suivi médicalement depuis son entrée à la prison le 4 décembre 2015 et a fait l’objet de contrôle médical à 10 reprises pour des maladies courantes et a été dirigé vers des services hospitaliers public à chaque fois qu’il était nécessaire”, a précisé le Direction.
Celle-ci n’a pas indiqué le nom et la date du décès du détenu, mais a énuméré les dates des contrôles médicaux dont il a fait l’objet depuis le 5 août, date à laquelle un médecin de la prison s’est rendu compte d’une possible pathologie interne du prisonnier avant de l’orienter vers un établissement hospitalier public.
La Direction Générale de l’administration pénitentiaire et de la réhabilitation a précisé que la direction de la prison “n’a pas interdit à toute personne ayant des documents légaux de visiter le détenu et n’a pas reçu de demande de visite ou de rencontre avec des responsables de la prison depuis le 20 juillet dernier, date de la dernière visite de sa mère et sa sœur”.
De son côté, l’observatoire des droits et des libertés avait fait état sur sa page officielle dimanche de la “mort suspecte” samedi d’un détenu de la prison de Mornag.
Publiant la photo d’une dépouille portant des traces de blessures au niveau de la tête et du genou, il a demandé “l’ouverture d’une enquête sérieuse pour connaître la vérité sur la mort du détenu”.
L’observatoire rapporte le témoignage de la famille du défunt selon lequel elle n’a pas été informée d’une détérioration de la santé de leur fils avant la date de son décès.
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