L'affaire des stents périmés n'a pas fini de faire couler de l'encre, cette fois-ci, une "campagne médiatique orchestrée contre le secteur de la santé" est pointée du doigt par la fédération nationale de la santé, relevant de l’Union Tunisienne de l’Industrie, du Commerce et de l’Artisanat (UTICA), a rapporté la TAP.
Selon, Boubaker Zakham, président de ladite fédération, l'affaire des stents périmés a été l'objet d'un “tapage médiatique” qui nuit à porté atteinte à l’image du secteur de la santé en montant l'opinion publique contre le secteur. Les prestations de santé auprès de certaines parties étrangères ont même été discréditées, précise-t-il.
Khaled Nabli, président de la chambre syndicale nationale des cliniques privées, a quant à lui reproché au ministère de la Santé de ne pas s'être assumé du nombre cliniques impliquées dans cette affaire puisqu’il s’est avéré que deux cliniques à Sfax ne sont pas concernées par ce dossier.
Ce dernier a souligné que le nombre des stents périmés implantés au cours de ces trois dernières années s’élève à 106 seulement sur un total de 51000. Il précise toutefois, que cela justifie en aucun cas les dépassements commis.
Pour rappel, Said Aidi, ministre de la Santé est sorti de son silence le 4 août dernier, révélant que quarante-neuf médecins et quatorze cliniques privées – situées dans plusieurs régions du pays – sont impliqués dans l’affaire, il a assuré que la justice prendra son cours surtout qu’une plainte a été déposée auprès du ministère public.
Les médecins dont l’implication a été prouvée seront, par ailleurs, soumis à des conseils de discipline. Le ministre a de même annoncé avoir proposé de fermer les salles de cathétérisme cardiaque des cliniques impliquées pour une durée allant d’un à trois mois.
Il est à noter que le nombre des victimes de cette affaire s’élève à 107 personnes.
Dans la catégories scandales touchant le monde médical, a éclaté lundi 8 août, celui des anesthésiants périmés. il s'agît d' un produit anesthésiant impropre qui aurait causé déjà plusieurs décès de personnes ayant perdu la vie au moment de subir des interventions chirurgicales, à cause de l’usage de produit anesthésiant ne répondant pas aux standards techniques habituels.
Selon, Boubaker Zakham, président de ladite fédération, l'affaire des stents périmés a été l'objet d'un “tapage médiatique” qui nuit à porté atteinte à l’image du secteur de la santé en montant l'opinion publique contre le secteur. Les prestations de santé auprès de certaines parties étrangères ont même été discréditées, précise-t-il.
Khaled Nabli, président de la chambre syndicale nationale des cliniques privées, a quant à lui reproché au ministère de la Santé de ne pas s'être assumé du nombre cliniques impliquées dans cette affaire puisqu’il s’est avéré que deux cliniques à Sfax ne sont pas concernées par ce dossier.
Ce dernier a souligné que le nombre des stents périmés implantés au cours de ces trois dernières années s’élève à 106 seulement sur un total de 51000. Il précise toutefois, que cela justifie en aucun cas les dépassements commis.
Pour rappel, Said Aidi, ministre de la Santé est sorti de son silence le 4 août dernier, révélant que quarante-neuf médecins et quatorze cliniques privées – situées dans plusieurs régions du pays – sont impliqués dans l’affaire, il a assuré que la justice prendra son cours surtout qu’une plainte a été déposée auprès du ministère public.
Les médecins dont l’implication a été prouvée seront, par ailleurs, soumis à des conseils de discipline. Le ministre a de même annoncé avoir proposé de fermer les salles de cathétérisme cardiaque des cliniques impliquées pour une durée allant d’un à trois mois.
Il est à noter que le nombre des victimes de cette affaire s’élève à 107 personnes.
Dans la catégories scandales touchant le monde médical, a éclaté lundi 8 août, celui des anesthésiants périmés. il s'agît d' un produit anesthésiant impropre qui aurait causé déjà plusieurs décès de personnes ayant perdu la vie au moment de subir des interventions chirurgicales, à cause de l’usage de produit anesthésiant ne répondant pas aux standards techniques habituels.
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