"Le Front Populaire fera face à toute décision qui sera prise par le nouveau gouvernement et qui menacera le pouvoir d’achat du citoyen, son droit au travail et d’accéder aux services de base comme la santé, l’enseignement, l’électricité et le transport " a déclaré le dirigeant du Front Populaire, Hamma Hammami en marge d'un meeting populaire tenu par le parti, dimanche 28 août, à Hammam-Lif,
Au cours de ce meeting, Hammami a réaffirmé que l'opposition du Front Populaire au gouvernement de Youssef Chahed et à ses orientations.
"Ces orientations reflètent les directives du Fonds monétaire international (FMI) basées essentiellement sur l’adoption d’une politique d’austérité, la privatisation des entreprises publiques, le gel des recrutements, la dévalorisation du dinar", a-t-il indiqué.
Et au leader de gauche d'ajouter : "Les programmes du Front proposent des solutions concrètes basées sur les principes du règlement de la question de l’endettement, de l’évasion fiscale et la lutte contre la contrebande la gestion efficience des biens confisqués et la lutte contre la corruption".
"Ces mécanismes sont, à même, d’offrir des financements supplémentaires pour l’Etat avoisinants la moitié du budget global, qui pourront être orientés vers les projets de développement et qui devront favoriser l’amélioration des services sociaux et la réduction du taux de chômage "poursuit-il.
Même son de cloche pour l'UGTT
Dans ce même contexte, et dans un communiqué publié à l’issue du vote de confiance accordé par l’assemblée des représentants du peuple (ARP) au gouvernement d’union nationale,l’UGTT a souligné que les charges des politiques publiques doivent être partagées, précisant que ” les salariés ne peuvent aucunement être tenus pour responsables de l’échec des gouvernements précédents.”
Elle a, dans ce contexte, fait savoir que certaines crises à l’instar de celle du phosphate sont orchestrées par des lobbies corrompus qui doivent impérativement faire l’objet d’une lutte, mettant en garde contre le risque de porter atteinte aux établissements et institutions publics.
Il est à noter que deux personnalités syndicales font partie du gouvernement Chahed à savoir Abid Briki et Mohamed Trabelsi, deux anciens dirigeants de l'UGTT.
Toutefois, selon Hfaiedh Hfaiedh, secrétaire général adjoint de l'UGTT, l'organisation syndicale ne participe pas directement au gouvernement d’union nationale en dépit de l’existence de deux de ses anciens dirigeants dans la liste proposée par le chef du gouvernement désigné, Youssef Chahed, qui les considère comme étant des compétences indépendantes capables de servir le pays, a souligné, jeudi à Kapitalis, Hfaiedh Hfaiedh, secrétaire général adjoint de l’organisation syndicale, chargé de la fonction publique, faisant allusion à Abid Briki et Mohamed Trabelsi, nouveaux ministres de la Fonction publique et des Affaires sociales.
Au cours de ce meeting, Hammami a réaffirmé que l'opposition du Front Populaire au gouvernement de Youssef Chahed et à ses orientations.
"Ces orientations reflètent les directives du Fonds monétaire international (FMI) basées essentiellement sur l’adoption d’une politique d’austérité, la privatisation des entreprises publiques, le gel des recrutements, la dévalorisation du dinar", a-t-il indiqué.
Et au leader de gauche d'ajouter : "Les programmes du Front proposent des solutions concrètes basées sur les principes du règlement de la question de l’endettement, de l’évasion fiscale et la lutte contre la contrebande la gestion efficience des biens confisqués et la lutte contre la corruption".
"Ces mécanismes sont, à même, d’offrir des financements supplémentaires pour l’Etat avoisinants la moitié du budget global, qui pourront être orientés vers les projets de développement et qui devront favoriser l’amélioration des services sociaux et la réduction du taux de chômage "poursuit-il.
Même son de cloche pour l'UGTT
Dans ce même contexte, et dans un communiqué publié à l’issue du vote de confiance accordé par l’assemblée des représentants du peuple (ARP) au gouvernement d’union nationale,l’UGTT a souligné que les charges des politiques publiques doivent être partagées, précisant que ” les salariés ne peuvent aucunement être tenus pour responsables de l’échec des gouvernements précédents.”
Elle a, dans ce contexte, fait savoir que certaines crises à l’instar de celle du phosphate sont orchestrées par des lobbies corrompus qui doivent impérativement faire l’objet d’une lutte, mettant en garde contre le risque de porter atteinte aux établissements et institutions publics.
Il est à noter que deux personnalités syndicales font partie du gouvernement Chahed à savoir Abid Briki et Mohamed Trabelsi, deux anciens dirigeants de l'UGTT.
Toutefois, selon Hfaiedh Hfaiedh, secrétaire général adjoint de l'UGTT, l'organisation syndicale ne participe pas directement au gouvernement d’union nationale en dépit de l’existence de deux de ses anciens dirigeants dans la liste proposée par le chef du gouvernement désigné, Youssef Chahed, qui les considère comme étant des compétences indépendantes capables de servir le pays, a souligné, jeudi à Kapitalis, Hfaiedh Hfaiedh, secrétaire général adjoint de l’organisation syndicale, chargé de la fonction publique, faisant allusion à Abid Briki et Mohamed Trabelsi, nouveaux ministres de la Fonction publique et des Affaires sociales.
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