L'universitaire tunisienne Hafidha Chekir a été élue vice-présidente de la Fédération internationale des droits de l'Homme (FIDH) à l’issue du 39ème congrès de la Fédération, qui s’est déroulé du 23 au 27 août, à Johannesburg, la capitale de l'Afrique du Sud.
Hafidha Chekir s'est donnée comme mission de "défendre les droits de la femme dans les Etats arabes, en tant que partie intégrante des droits de l’Homme et une condition sine qua non pour l’instauration de la démocratie", a-t-elle déclaré à l'agence TAP.
Elle est l'auteure de nombreuses recherches et ouvrages sur la situation des droits humains en Tunisie, de la femme arabe et tunisienne en particulier comme "Le statut des femmes entre les textes et les résistances : le cas de la Tunisie", "La prostitution des femmes entre la légalité et l’interdiction", "Le combat pour les droits des femmes dans le monde arabe", etc.
Ce n'est pas la première fois qu'une Tunisienne est élue à la tête de la FIDH, avant Hafidha Chekir, c'est la journaliste et militante à la Ligue Tunisienne des Droits de l'Homme, Souhyr Belhassen qui a occupé le poste de présidente de l'organisation en 2004.
Il est à noter qu'à l'issue du congrès le Grec Dimitris Christopoulos a été élu président de la FIDH. Fondée en 1922, la FIDH est une ONG internationale de défense des droits humains. Elle regroupe 178 organisations nationales de défense des droits humains dans 120 pays.
Hafidha Chekir s'est donnée comme mission de "défendre les droits de la femme dans les Etats arabes, en tant que partie intégrante des droits de l’Homme et une condition sine qua non pour l’instauration de la démocratie", a-t-elle déclaré à l'agence TAP.
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Professeur de droit public à la faculté de droit et des sciences politiques à l’Université Al Manar (Tunis), militante féministe de longue haleine, Chekir est membre du bureau exécutif de l'association tunisienne des Femmes Démocrates, membre fondatrice de l’Association des Femmes tunisiennes pour la Recherche sur le Développement (AFTURD) et membre du comité scientifique de l'Institut arabe des Droits de l'Homme depuis sa création.
Elle est l'auteure de nombreuses recherches et ouvrages sur la situation des droits humains en Tunisie, de la femme arabe et tunisienne en particulier comme "Le statut des femmes entre les textes et les résistances : le cas de la Tunisie", "La prostitution des femmes entre la légalité et l’interdiction", "Le combat pour les droits des femmes dans le monde arabe", etc.
Ce n'est pas la première fois qu'une Tunisienne est élue à la tête de la FIDH, avant Hafidha Chekir, c'est la journaliste et militante à la Ligue Tunisienne des Droits de l'Homme, Souhyr Belhassen qui a occupé le poste de présidente de l'organisation en 2004.
Il est à noter qu'à l'issue du congrès le Grec Dimitris Christopoulos a été élu président de la FIDH. Fondée en 1922, la FIDH est une ONG internationale de défense des droits humains. Elle regroupe 178 organisations nationales de défense des droits humains dans 120 pays.
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