C'est un petit restaurant lové dans une ruelle peu passante de la médina. Et pourtant, le rythme y est palpitant, le temps d'un déjeuner traditionnel.
Ce restaurant fonctionne par et pour ses habitués. "Nous attirons la 2ème génération de clients celle dont les parents étaient des fidèles", commente fièrement Bassem qui dirige le Chez Mounir, un lieu qui ne porte donc pas son prénom mais celui de son père dont le portrait trône derrière la caisse.
La famille de celui-ci est dans la restauration depuis près de 40 ans. Elle gère également le plus célèbre Dar Belhaj, restaurant plus gastronomique aussi de la même rue.
"Ici l'ambiance est décontractée et le service est particulier. Les gens se sentent comme chez eux, ils réclament à haute voix et n'hésitent pas à aller en cuisine", ajoute Bassem.
Madfouna, Mbatten, couscous, plats en sauce, la cuisine traditionnelle est au menu; Un menu changeant tous les jours pour le plaisir de clients venant essentiellement, du quartier et des ministères et tribunaux mitoyens.
"Nous nous concentrons sur des plats ressemblant à ceux que l'on faisait à la maison. Des plats que les familles ne font plus et qui font plaisir", indique le restaurateur.
Chez Bassem, règne une ambiance bistrot à la Tunisienne, dont les prix sont à la portée et les goûts adaptés aux palais tunisiens et étrangers. Même si la clientèle touristique est aujourd'hui quasi inexistante, l'ambiance dans ce restaurant n'a pas baissé d'un cran, tout comme l'intérêt pour la cuisine du terroir et la reconquête de "l'originel" prenant, pour certains, l'aspect d'une recherche d'exotisme. Un intérêt constant donc qui permet de faire vivre, même en temps de crise, ce type d'endroits où le luxe artificiel n'a pas de place.
Ce restaurant fonctionne par et pour ses habitués. "Nous attirons la 2ème génération de clients celle dont les parents étaient des fidèles", commente fièrement Bassem qui dirige le Chez Mounir, un lieu qui ne porte donc pas son prénom mais celui de son père dont le portrait trône derrière la caisse.
La famille de celui-ci est dans la restauration depuis près de 40 ans. Elle gère également le plus célèbre Dar Belhaj, restaurant plus gastronomique aussi de la même rue.
"Ici l'ambiance est décontractée et le service est particulier. Les gens se sentent comme chez eux, ils réclament à haute voix et n'hésitent pas à aller en cuisine", ajoute Bassem.
Madfouna, Mbatten, couscous, plats en sauce, la cuisine traditionnelle est au menu; Un menu changeant tous les jours pour le plaisir de clients venant essentiellement, du quartier et des ministères et tribunaux mitoyens.
"Nous nous concentrons sur des plats ressemblant à ceux que l'on faisait à la maison. Des plats que les familles ne font plus et qui font plaisir", indique le restaurateur.
Chez Bassem, règne une ambiance bistrot à la Tunisienne, dont les prix sont à la portée et les goûts adaptés aux palais tunisiens et étrangers. Même si la clientèle touristique est aujourd'hui quasi inexistante, l'ambiance dans ce restaurant n'a pas baissé d'un cran, tout comme l'intérêt pour la cuisine du terroir et la reconquête de "l'originel" prenant, pour certains, l'aspect d'une recherche d'exotisme. Un intérêt constant donc qui permet de faire vivre, même en temps de crise, ce type d'endroits où le luxe artificiel n'a pas de place.
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