Intervenant sur la radio Mosaïque Fm, Ridha Saïdi, conseiller du chef du gouvernement Youssef Chahed, a expliqué les raisons ayant poussé le gouvernement à utiliser la loi d'état d'urgence dans l'arrestation d'hommes d'affaires soupçonnés de corruption.
"Chaque arrestation doit reposer sur une base juridique et c'est sur celle-là que nous nous sommes appuyés car les autres outils prenaient trop de temps" a-t-il affirmé ajoutant que "tout l'appareil de l'État est dédié à la lutte contre la corruption".
Concernant d'éventuelles pressions ou tensions subies par le gouvernement, Ridha Saïda indique qu'il y a une "grande satisfaction". "Il y a eu deux conseils des ministres qui se sont déroulés de façon naturelle et tous les membres du gouvernement étaient détendus et satisfait d'appartenir à ce gouvernement d'union nationale dont la lutte contre la corruption est la priorité" a-t-il rappelé.
"Il y a une volonté politique réelle de lutter contre la corruption et aujourd'hui, il y a un appui politique très important qu'on a ressenti au gouvernement à travers les différents communiqués de partis politiques et d'organisations nationales qui soutiennent ce qui a été fait" affirme Ridha Saïdi avant d'appelé "au soutien populaire".
Mercredi, le chef du gouvernement a appelé les Tunisiens à s'unir "dans cette guerre contre la corruption", indiquant qu'il mènera ce "combat" contre la corruption "jusqu'au bout".
Depuis mardi, la Tunisie connait une vague d'arrestations contre plusieurs hommes d'affaires soupçonnés de corruption et d'atteinte à la sûreté de l'État, dont notamment l'homme d'affaires Chafik Jarraya et l'ancien candidat à l'élection présidentielle de 2014 Yassine Channoufi.
Arrêtés et placés en résidence surveillés conformément à l'article 5 de la loi régissant l'état d'urgence, leur arrestation a entrainé une vague de réactions sur les réseaux sociaux.
"Chaque arrestation doit reposer sur une base juridique et c'est sur celle-là que nous nous sommes appuyés car les autres outils prenaient trop de temps" a-t-il affirmé ajoutant que "tout l'appareil de l'État est dédié à la lutte contre la corruption".
Concernant d'éventuelles pressions ou tensions subies par le gouvernement, Ridha Saïda indique qu'il y a une "grande satisfaction". "Il y a eu deux conseils des ministres qui se sont déroulés de façon naturelle et tous les membres du gouvernement étaient détendus et satisfait d'appartenir à ce gouvernement d'union nationale dont la lutte contre la corruption est la priorité" a-t-il rappelé.
"Il y a une volonté politique réelle de lutter contre la corruption et aujourd'hui, il y a un appui politique très important qu'on a ressenti au gouvernement à travers les différents communiqués de partis politiques et d'organisations nationales qui soutiennent ce qui a été fait" affirme Ridha Saïdi avant d'appelé "au soutien populaire".
Mercredi, le chef du gouvernement a appelé les Tunisiens à s'unir "dans cette guerre contre la corruption", indiquant qu'il mènera ce "combat" contre la corruption "jusqu'au bout".
Depuis mardi, la Tunisie connait une vague d'arrestations contre plusieurs hommes d'affaires soupçonnés de corruption et d'atteinte à la sûreté de l'État, dont notamment l'homme d'affaires Chafik Jarraya et l'ancien candidat à l'élection présidentielle de 2014 Yassine Channoufi.
Arrêtés et placés en résidence surveillés conformément à l'article 5 de la loi régissant l'état d'urgence, leur arrestation a entrainé une vague de réactions sur les réseaux sociaux.
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